A prima volta chì Philippe Poutou, u candidatu di u Nouveau Parti Anti-capitaliste hè statu l'invitatu di l'emissione di Ruquier, avia fattu u buzz malgradu ellu.
In causa, una forma di "disprezzu di classa" da a parte di l'animatori è di l'invitati versu u candidatu, uvrieru ind'è Ford è chì ùn ammaistreghja micca i codici mediatichi abituali :
In causa, una forma di "disprezzu di classa" da a parte di l'animatori è di l'invitati versu u candidatu, uvrieru ind'è Ford è chì ùn ammaistreghja micca i codici mediatichi abituali :
Sta volta, Philippe Poutou era appena di più azezu. È cù una dumanda nant'à a cuntestazione in Guyana, hà fattu un paragone cù a Corsica :
"Nous on pense que la Guyane, l'outre-mer c'est les restes de l'empire colonial français et les traces du colonialisme c'est pas fini. Il y a toujours des peuples sous domination néo-coloniale. Ca se voit ne serait-ce que par le niveau de vie largement inférieur. On dit que c'est la France, mais en Guyane le taux de chômage est le double, la pauvreté est largement supérieure et les infrastructures sont moins développées qu'ici. Il y a un sous-développement qui est imposé. Toute l'économie de ces pays-là..."
Yann Moix s'annerba : "vous dîtes 'cest pays-là' mais c'est la France !"
Philippe Poutou : "Pour nous c'est pas la France ! Nous on défend le droit à l'autodétermination. C'est un droit qu'on devrait respecter et mettre en avant. Et là visiblement en Guyane il y a un peu d'envie pour ça. A force de subir les dégradations des conditions de vie, la pauvreté, la population dit qu'il faudrait changer un peu l'organisation des choses. Donc ils se battent, et à juste titre. Nous on soutient la mobilisation en Guyane. Derrière la mobilisation sociale il y a ce côté anti-colonial parce qu'il y a une économie qui est dominée par l'état français."
È di cunclude : "Il y a besoin que les populations puissent décider par elles-mêmes, c'est un droit qui devrait être reconnu à l'ensemble des populations. Et on peut parler de la Corse, du Pays Basque ou de la Bretagne..."
"Nous on pense que la Guyane, l'outre-mer c'est les restes de l'empire colonial français et les traces du colonialisme c'est pas fini. Il y a toujours des peuples sous domination néo-coloniale. Ca se voit ne serait-ce que par le niveau de vie largement inférieur. On dit que c'est la France, mais en Guyane le taux de chômage est le double, la pauvreté est largement supérieure et les infrastructures sont moins développées qu'ici. Il y a un sous-développement qui est imposé. Toute l'économie de ces pays-là..."
Yann Moix s'annerba : "vous dîtes 'cest pays-là' mais c'est la France !"
Philippe Poutou : "Pour nous c'est pas la France ! Nous on défend le droit à l'autodétermination. C'est un droit qu'on devrait respecter et mettre en avant. Et là visiblement en Guyane il y a un peu d'envie pour ça. A force de subir les dégradations des conditions de vie, la pauvreté, la population dit qu'il faudrait changer un peu l'organisation des choses. Donc ils se battent, et à juste titre. Nous on soutient la mobilisation en Guyane. Derrière la mobilisation sociale il y a ce côté anti-colonial parce qu'il y a une économie qui est dominée par l'état français."
È di cunclude : "Il y a besoin que les populations puissent décider par elles-mêmes, c'est un droit qui devrait être reconnu à l'ensemble des populations. Et on peut parler de la Corse, du Pays Basque ou de la Bretagne..."
I naziunalisti corsi chì ùn sò micca micca veramente acquisti à a manca è ancu menu à a strema manca, seranu cunvinti da Poutou ?
Da vede à partesi da u minutu 10 :
Da vede à partesi da u minutu 10 :