Pasquale Paoli era panzutu stumacatu
Intaressante : sicondu A.M. Graziani, quandu P. Paoli hè representatu bè hè un gattivu dissegnu e quandu ellu hè goffu e pansutu hè a verità...
Dittemi, quantu ani t'hà l'amicu Graziani per cunosci cusi bè à Pasquale Paoli e chi l'hà fattu di gattivu...?!! Si di no, semu ghjusti : era un nobulu, pudemu pensà ch'ellu era pansutu cume l'eranu tutti... Ma ghjè veru che d'abitudina, l'omi so sempre riprisentati piu bè ch'un n'eranu. Cio chi hè siguru hè che a sculptura hè a piu goffa di e so fiure ! U Palatinu
In fatti, postu ch'e tuttu mondu dice a soia, aghju da dì a meia.
Pasquale Paoli ùn s'assumigliava à nisune di ste pinture, s'assumigliava solu à mè. circinelludiguagnenativupeliguagnesusosanguaversatu
fighjendu bè st'opara, ciò chì si rimarca ùn hè a faccia di pasquale, hè piutostu l'assenza di collu !
u goffu in ssa statua hè ch'ùn ha micca collu è ch'ella ha i spaddi chjuchi. Inveci chi à nantu à tutti i ritratti, s'ell'hè vera chi scambia la faccia, hè sempri u babbu spaddilargu è collilongu ! u zocculu hè goffu goffu, troppu grande, è ssa statua hè troppu "cincentrata", manca un biotu tra u zocculu hè a statua; macnca solu di finezza è di gustu ! ma pensu chì rifendu u zocculu è staccallu un pocu da a statua rindaria appena un aspettu nurmale à l'opara. di modu generale pensu ancu eiu chi una statua deve rende a putenza di a parsona ancu inganendu a realità; è pensu dinù chi... E MERDA ! HE GOFFA HE GOFFA, E BASTA !!! circinelludiguagnenativupeliguagnesusosanguaversatu
ssa statua hè troppu "cincentrata", ci vulia à leghe : troppu cuncentrata
Ghjuvà-Aiacciu
Panzutu era forsi.... Ma eiu mi pongu una antra quistioni : d'aprressu à voi, Pasquale Paoli, saria statu d'accunsentu cù u "matrimoniu par tutti" o no :) ?
Sardegna
Panzuto forsi...pinzutu mai!!!
lola
Fêter le 14 juillet, oui ! Mais pas le 14 juillet 1789 !
– Alors que partout en France, le bon peuple s’apprête à se rendre dans les bals populaires pour y voir tirer des feux d’artifices, il est grand temps de fêter en corse dignement et historiquement le 1er 14 juillet du peuple corse : Le 14 juillet 1755, à la cunsulta du couvent Sant’Antone di a Casabianca, Pasquale Paoli est élu général (unique) de la Nation Corse. Le lendemain, Paoli est accueilli en triomphe par la cunsulta. L’indépendance est proclamée, au nom du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Celui qui deviendra u babbu (papa) di a patria est chargé de rédiger une constitution pour la Corse qui en fera la première démocratie de type moderne en Europe. Une démocratie qui fera l’admiration des philosophes français, et une constitution qui inspirera celle des Etat Unis d’Amérique de 1787. Lors de cette cunsulta qui se terminera le 15 juillet 1755, il est décidé que " si des troupes de quelque puissance que ce soit, sans exception " , venaient en Corse pour combattre, il y serait opposé " la force à la force " , même au prix du sacrifice de toute la nation. De plus, la cunsulta décrète également ' une guerre perpétuelle ' à la République de Gênes et » à toute puissance qui l’assurerait de sa protection « , c’est-à-dire à la "France" entre autre. Cette déclaration est de toute première importance, et ce n’est pas un hasard si à l’image du reste de cette période, cette partie importante de notre Histoire est passée sous silence. En effet, cette cunsulta légitime tout simplement tous ceux, qui encore aujourd’hui, combattent pour la liberté de la nation corse, ils ne font que continuer à mettre en application les décrets de cette cunsulta ! Ce n’est pas une guerre de 10 ans, de 20 ans ou de 100 ans qui a été décrété, mais bien une guerre perpétuelle ! Elle cessera quand la Corse sera de nouveau libre. Dans une lettre à son père le lendemain de cette cunsulta, Pasquale Paoli dira que son premier soucis est de " punir les délits, empêcher les ligues et de maintenir l’union " . Une leçon à retenir pour tous, l’union avant tout et une preuve de plus de l’attachement des Corses à la Justice. C’est donc bien ce 14 juillet 1755 qui mériterait d’être fêté en Corse bien plus que le 14 juillet 1789. Mais, aujourd’hui, en 2005, notre Histoire est toujours passée sous silence par le système scolaire qui est devenu un outil de propagande de l’Etat français et de francisation à outrance de notre jeunesse. De Napoléon, on en entend parler à l’école, mais de Paoli et de l’indépendance, que nenni ! » Cacher cette indépendance que je ne saurais voir » pourrait-on presque entendre… Depuis des temps immémoriaux, le peuple corse est épris de liberté et de justice. Mais malheureusement, à part lorsque la Corse était gouvernée par des Corses au XVIIIe siècle, nous n’avons jamais eu droit ni à la Justice ni à la liberté. Contrairement à ce que certains voudraient faire croire, ce n’est pas la révolution française de 1789 qui a changé cet état de fait, au contraire, elle l’a institutionnalisé… Et ce n’est pas un hasard si dès 1793 la Corse se détournait de cette révolution alors qu’elle y avait adhéré de manière enthousiaste croyant voir enfin triompher les idées que Paoli et les nationaux avaient mis en pratique quelques décennies plus tôt. La Corse a été dépouillée de sa langue, de sa culture, de son code familial et terrien, de son organisation politique multimillénaire, de ses liaisons méditerranéennes, de ses statuts, de ses coutumes, en un mot de son Histoire dont le pouvoir français exigea qu’elle commençât en 1789. La Corse, nation libre et ouverte au monde au siècle des Lumières, a été plongée et maintenue, délibérément maintenue, dans l’ère du sous-développement. La Corse n’a jamais connu d’autre état de droit que celui imposé par la violence. Mais la fête nationale Corse c'est le le 8 décembre: Fête Nationale Corse (Festa di a Nazione). Le concept de Fête Nationale Corse peut surprendre qui me connait peu, mais peu importe… La Fête Nationale trouve son origine en 1735 (elle est donc antérieure à la Fête Nationale Française). Tout d’abord, il faut savoir que la Corse fut, pendant longtemps, sous domination génoise, entrecoupée de diverses tentatives de révoltes. En 1729 enfin, la révolte, débutée dans le Bozziu contre les percepteurs triomphe, et assez rapidement, presque toute la Corse est libre (hormis Aiacciu, Bastia, Calvi, et Bunifaziu, qui demeuraient des bastions génois). Les chefs de la rébellion, Giafferi, Paoli (U babbu du u "Babbu", le père biologique du papa spirituel et politique de la nation Corse, Pascale), Ceccaldi, Raffaeli, et quelques autres commencent alors à s’organiser dès l’année suivante, en dépit de la guerre que continuent de leur faire Gêne et ses alliés (la France et l’Autriche). Quelques années plus tard, en 1735 la Cunsulta d’Orezza ; on y élabora la Constitution Corse, et on y proclama l’Indépendance. Cette Constitution mit la Corse sous la protection de la Vierge Marie, et très précisément de l’Immaculée Conception : que l’on fêtait alors le 8 décembre. C’est précisément à cette occasion que fut choisit l’Hymne National Corse, le Dio vi salvi Regina, qui jusqu’alors n’était qu’un chant religieux célébrant la Vierge Marie. Fut également décidé que la Fête Nationale Corse serait célébrée, entre autre, par des tirs, en l’air, de mousquet et de canon. Après la conquête française, le lavage de cerveau de la colonisation fit tout pour faire oublier jusqu’au souvenir de cette fête, mais depuis quelques années, depuis le Riacquistu surtout, cette fête est a nouveau fêtée dans toute la Corse ; cette année, il y aura des manifestations organisées, à Corti, à Tavera, à Cervioni, à Bastia, et enfin, à Paris. On y sera.... lola
http://www.corsenetinfos.fr/L-Accademia-Corsa-recompense-plusieurs-theses-de-l-Universite-de-Corse_a4165.html#last_comment
La Corse dont la presse française et le quotidien locale en situation de monopole C-Matin (Un peu comme la SNCM , ça durera plus trés longtemps, ni la SNCM, ni les autres monopoles). Donc voici la Corse dont on ne parle pas. Ni Valls ni les médias parisiens. Merci à Corse net info de réparer ce déficit d'information. Pour nous informer d'un des multiple exemple de cette Corse vivante qui avance, culturellement, économiquement, politiquement, sur d'elle, fière mais pas orgueilleuse, sur de son chemin, qui est celui de la liberté, et de la vie en paix et en collaboration avec son environnement géographique et géopolitique naturel, en accord avec sa mémoire, sa culture et son histoire, enracinée et ouverte à la fois. U Palatinu
S’e vo ghjunghjite in a pievi d’Ampugnani, passendu per a Casinca, dopu francatu u paese di Porri, è a bocca di Sant Agustinu, prestu truvarete u paese di Silvarecciu è pò Pianu, è nanzu di ghjunghje in Casabianca, in bor di strada, si trova l’anticu cunventu.
L’Ampugnani, è d’una manera generale, tutta a Castagniccia, si pò cunceve cume un nulu di picculi paesoli antichi, è per certi diserti, custruiti à fiancu à i monti, è tra i quali si passa per piccule straduccie strette strette, nant’à e quale u falsu muvimentu u più minimu ùn pò perdunà. Malgratu a mio cuniscenza di sti lochi magichi, sò sempre cusì maravigliatu da a bellezza salvatichi chì stu rughjone rigala à i mio ochji, quante quelle di tanti altri paesi corsi. Culà, d’ogni latu di a strada, ùn simu ingirati ch’e da a furesta a più squisita, o da a machja a più ribella, almenu ch’ella fussini scoglii nobili. È tandu, à mezu à a serenità di i castagnii, ghjovani o vechji, in bona saluta o micca, u silenziu si face rimore per salutà a bellezza di a Corsica. Ghjuntu sopra piazza, à a bocca di Sant’Antone, locu duve precisamente si trova stu cunventu, ùn pudemu ch’e sta in ammirazione davanti à ste ruvine venerabile, sempre arritte ben ch’e cusì sfragellate, simbolu d’un anima corsa chì più ch’e tuttu, ùn vole micca more. Ruvine venerabile senza più tettu di cio chì fù un cunventu d’un epica duve si sapia custruisce, in u quale s’hè stallatu, dapoi u principiu di u vintesimu seculu, un picculu campusantu, è ingirate da castagni magnifichi. Sempre elli… Di sicuru, pensu chì quelli di i mio lettori chì serianu i più astuti, o i più fidi averanu prestu da induvinà di cosa vogliu parlà, è l’intaressu particulare, aldilà di patrimuniale, di stu magnificu, ben ch’e in ruvina, cunventu di l’Ampugnani. Per l’altri, vi l’aghju da cuntà, è spergu, per u vostru più gran piacere. In u 1755, Pasquale de Paoli, ghjovanu corsu, hè in esiliu à Napoli dapoi qualchi anni, dapoi ch’ellu hà seguitatu u so babbu, l’anzianu Generale di a Nazione Ghjacintu Paoli, di Merusaglia, dopu chì a prima invasione francese messi un termine à e brame di libertà di i Naziunali corsi è di a nazione corsa. Fra tempu, u generale Gafforj avia pussutu unificà i Corsi, è ripiglià a lotta, ma fù assassinatu in u 1753 à tradimentu, lascendu dunque a Corsica senza capurale, ben ch’e quasi liberata. U putere fù tandu datu à Clemente Paoli, u fratellu di Pasquale, firmati sopra locu, chì prestu chjamò u so fratellu in u so esiliu napulitanu. Pasquale ricevì u missaghju è assai prestu rivenì, accittatu di manera quasi unanima da i Naziunali, à tal puntu chì, u 14 di lugliu di u 1755, à u Cunventu di Casabianca in a pievi d’Ampugnani, in pienu core di a Castagniccia, una Cunsulta si face chì pruchjama Pasquale de Paoli Generale di a Nazione Corsa. I quattordeci anni chì seguitonu fubbinu impiegati da Paoli è da i so partigiani à fà caminà a Corsica à u megliu nant’à a strada di u prugressu è di a dimucrazia… À quell’epica, e Cunsulte, quante quella di Casabianca (à u livellu più eccezziunale), custituavanu una riprisentazione dimucratica rimarcavule à l’epica duve i capu di statu in Auropa eranu essenzialmente munarchi di dirittu divinu ch’ùn eranu mancu chjamati dittattori, ben ch’e u termine averia statu perfettu. Per quessa, per tutte ste raghjone, a nostra Storia custituisce, à contu meiu, u migliore di tutti l’argumenti chi sianu à fà vede à tutti quelli, razzisti, chì ci scherzanu è ci inghjurianu. Per tutte ste raghjone, più ch’e mai, pudemu esse fieri di i nostri antennati, di a nostra Storia, sopra tuttu per pruvà à rendelli ommagiu, custruiscendu un avvene migliore, incù serenità, ma senza pattighjà. Di sicuru, l’antica demucrazia corsa ùn era perfetta, ma per l’epica, era veramente l’aspirazione di tuttu un populu à a libertà, è què, più altu ch’e tutti i sfragelli accaduti dopu, più altu ch’e tutti i nostri sbaglii, più o menu pessimi, da i quali simu culpevuli, ùn devemu mai dimenticàcci. A nostra Storia hè a nostra richezza. Leandri
l'ampargu avà chi e statue di tippu cumemurativu devenu esse fidele fidele à u so mudellu...A stu contu, a statua di Napulio nant'à a Piazza in Bastia cosa hè ? era cusi musculatu u capuralettu? Aio aio chjodi la appena o Graziani
livia
E quessa !!!
http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Apsley_House_-_Napoleon%27s_statue.JPG Eppo, hè megliu di vede U Babbu panzutu (ma vistutu !) chi cusì ; ) Simbruino
U cunniscete u fiadone abruzzese? http://lanticapasticceria.blogspot.it/2011/03/fiadoni-abruzzesi.html Scrive una risposta
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