Cumu si dice «casse-toi pauv'con» in corsu ? Culomba1
O José cuntinueghja puru à leghje, à parlà u corsu è sè un ghjornu diventa "a to priurità" (?) ampara à scrivelu : t'hà da piglià trè ore à u più sè tù parli bè...
I spazii pè a lingua corsa sò scarsi, perchè ci vulerebbe à traduce in più? Cum'è tè sò numerosi à capisce, ancu s'elli ùn ponu scrive. Tandu averanu forse a voglia d'andà più luntanu pè a so lingua : è fanne "una priurità"....lol Pollini José
Eri era San Ghjase,
Grazie per averci pensatu!! ringraziu Culumba ( ma un sò micca in due si e cume ti chiami !) per u to' messaggiu e u to' invitu a ampara a scrive a lingua corsa. Se tu avessi a mò età ( 67 ), forse, un penseresti cusi... Je continue en français... pour dire que cela ne peux plus être ma priorité car il y a d'autres choix à faire et pour moi ce qui importe le plus c'est que les hommes arrivent à dialoguer , à se parler, sans exclure quiconque . Or pour cela la parfaite connaissance d'une langue, quelle qu'elle soit , n'est pas une priorité ni le préalable indispensable. Mais loin de moi l'idée de considérer que l'apprentissage ou le ré-apprentissage de sa langue maternelle ou de la langue de la terre qui vous a vu naître ou qui vous a adopté ou encore que vous avez parfois tout simplement choisie pour y vivre ( parce qu'elle est belle et hospitalière ), n'est pas important. Cela devrait être et devrait en effet dès le plus jeune âge l'une des priorités. Mais cela ne peut être imposé , il faut que ce besoin vienne du coeur et j'approuve votre façon de l'exprimer. L'une de mes craintes, véritable hantise parfois, est la place que risquet de prendre dans notre société , en Corse aussi, les Ayatollahs dogmatiques en tout genre, ceux qui confondent identité insulaire ou de "pays" et identité nationale, ou encore protection ou promotion d'une langue et nationalisme ( pris au sens de l'exclusion de l'autre du fait de sa différence, ce qu'il devient bien souvent lors de ses excès ) . Autre exemple pour conclure et pour rire un peu : ceux aussi qui s'offusquent, avec rage parfois ( qui fait sourire bien sûr ) et pas toujours avec l'humour qu'il conviendrait d'avoir, devant certains changements de pratiques ou d'usages pour se dire bonjour ! Vu sur "piazzetta" aussi: en Corse on se faisait rarement la bise, aujourd'hui cette pratique ( qui n'a jamais transmis le SIDA ni aucune autre maladie ) semble se répandre dangereusement comme une maladie contagieuse, pour certains. Cela n'a jamais rien eu à voir pourtant avec le degré de virilité qu'on porte ou pas dans son pantalon! C'est ainsi; faut-il combattre ces "dérapages" comportementaux et se facher avec ses amis ou ses hôtes pour cela? Je ne le crois pas . En arrivant à Marseille en 1958, j'ai découvert cette façon de saluer les filles puis les deux sexes ( mais pas les inconnus), au Canada et aux USA j'ai été surpris de la crainte que semblaient avoir les gens à se serrer la main et la "bise" était l'exception( à la rigueur se quittant, parfois!). À avignon, l'usage c'est trois bises ou plutôt accolades, à Paris c'est parfois quatre, en Italie c'est variable ( plus ou moins deux ) , et en corse aujourd'hui , je n'y prête plus attention mais il est vrai qu'une plus grande retenue est toujours de rigueur. C'est bien , c'est aussi mon avis , mais c'est me semble-t-il, très secondaire. Interrogeons nous sur le sens, car li y en a un , mais n'en faisons pas une cause d'exclusion ou de conflit. Sarebbe meglio à dirlu in corsu . È veru. Amen... me direz vous. Bien amicalement, et Bravo PIAZZETTA José POLLINI ghuvan'paulu
Eo preferiscu :
Va' e fatti leghje o manghjamerda ! PEPE
futti mi u cane o connu chè tu si
Enrico
Da noi a più azzeccata hè: escimicci da culu, bruttu cuglioni!
Seb
Eu diceraghju simplicimente :
VIAGHJA O GLOSCIA !!! Scrive una risposta
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