Era di dicembre di u 2015, dop'à l'elezzione di i naziunalisti à l'assemblea di Corsica. In e numerose riazzione dop'à u discorsu in lingua corsa di u presidente Talamoni, François Fillon avia mandatu un cummunicatu abbastanza azezu.
"Le prononcé d'un discours inaugural dans une langue qui, à ce jour, n'est pas celle de la République, la référence à des prisonniers politiques dont le Premier ministre a rappelé récemment qu'ils n'existaient que dans l'imagination des nationalistes, et plus encore les insultes faites à l'histoire de notre pays méritent de la part du chef du gouvernement un ferme rappel à la loi et de la part du chef d'Etat une réaction claire concernant l'unité de la nation française"
Chì serà "une réaction claire" ? Un pattone ? U GIGN ? Un embargo ?
"Le prononcé d'un discours inaugural dans une langue qui, à ce jour, n'est pas celle de la République, la référence à des prisonniers politiques dont le Premier ministre a rappelé récemment qu'ils n'existaient que dans l'imagination des nationalistes, et plus encore les insultes faites à l'histoire de notre pays méritent de la part du chef du gouvernement un ferme rappel à la loi et de la part du chef d'Etat une réaction claire concernant l'unité de la nation française"
Chì serà "une réaction claire" ? Un pattone ? U GIGN ? Un embargo ?
Ma rassiguratevi, era listessa pè Juppé.
N'aviamu parlatu quì : "Corsi, statevi zitti" : e peghju riazzione
N'aviamu parlatu quì : "Corsi, statevi zitti" : e peghju riazzione