Le bronze
Le bronze, matière dense qui inscrit l’œuvre dans sa pérennité, nouvelle expérience avec une surface réflective qui accroche la lumière, sa couleur subtile et sa patine : une étape supplémentaire dans l’expression.
Le bronze, matière complexe qui impose de se soumettre à des contraintes techniques. Travailler à l'écoute des propositions du fondeur mais ne pas abdiquer: ne rien perdre des surfaces, courbes, aspérités, des marques de l’outil, des traces de doigts.
Longtemps réservé aux représentations solennelles et monumentales des places publiques, la statuette peut rejoindre un registre plus disparate mais plus intimiste, renforçant le ressenti par un ciselé plus précis dont la patine vient parfaire l’objet.
Le bronze, matière dense qui inscrit l’œuvre dans sa pérennité, nouvelle expérience avec une surface réflective qui accroche la lumière, sa couleur subtile et sa patine : une étape supplémentaire dans l’expression.
Le bronze, matière complexe qui impose de se soumettre à des contraintes techniques. Travailler à l'écoute des propositions du fondeur mais ne pas abdiquer: ne rien perdre des surfaces, courbes, aspérités, des marques de l’outil, des traces de doigts.
Longtemps réservé aux représentations solennelles et monumentales des places publiques, la statuette peut rejoindre un registre plus disparate mais plus intimiste, renforçant le ressenti par un ciselé plus précis dont la patine vient parfaire l’objet.
La technique de la fonte est connue depuis l’Antiquité mais elle a beaucoup évolué au XIXe siècle.
L’association avec le monde industriel a permis le développement d’une esthétique caractérisée du siècle des progrès techniques. Cela a autorisé la multiplication de sculptures les plus célèbres et les plus appréciées auprès des classes sociales qui n’avaient pas encore eu la chance de s’initier réellement à l’art et surtout à son évolution. A l’époque, on ne comptait pas le tirage, et la rareté n’étaient pas considérée.
Mais l’emploi de techniques abusivement appelées bronze a leurré certains de ces nouveaux amateurs d’art. Heureusement, et afin de d’empêcher l’amalgame l’’appellation bronze-imitation permit aux nouveaux collectionneurs de distinguer les véritables œuvres d’art et leurs avatars publicitaires.
Depuis longtemps, la question du nombre des exemplaires lâchés sur le marché est un aspect lié à des pratiques de marché de l’art et n’a pas systématiquement d’incidence sur la qualité des œuvres. Toutefois, l’assurance d’une diffusion restreinte assure une cote qui ne sera pas démentie si l’artiste a gagne la reconnaissance des collectionneurs.
L’association avec le monde industriel a permis le développement d’une esthétique caractérisée du siècle des progrès techniques. Cela a autorisé la multiplication de sculptures les plus célèbres et les plus appréciées auprès des classes sociales qui n’avaient pas encore eu la chance de s’initier réellement à l’art et surtout à son évolution. A l’époque, on ne comptait pas le tirage, et la rareté n’étaient pas considérée.
Mais l’emploi de techniques abusivement appelées bronze a leurré certains de ces nouveaux amateurs d’art. Heureusement, et afin de d’empêcher l’amalgame l’’appellation bronze-imitation permit aux nouveaux collectionneurs de distinguer les véritables œuvres d’art et leurs avatars publicitaires.
Depuis longtemps, la question du nombre des exemplaires lâchés sur le marché est un aspect lié à des pratiques de marché de l’art et n’a pas systématiquement d’incidence sur la qualité des œuvres. Toutefois, l’assurance d’une diffusion restreinte assure une cote qui ne sera pas démentie si l’artiste a gagne la reconnaissance des collectionneurs.