De nombreux kabyles ont fait le déplacement pour rendre hommage à leur Rebelle, chantre de l’identité kabyle et amazighe, de la liberté, de la démocratie et de la laïcité. L’événement a été marqué par la présence des élus locaux, de la mère et de la sœur (Nna Aldjia et Malika Matoub) du l’éternel Rebelle, de Ferhat Mehenni, président de l’Anavad et de nombreux artistes qui ont animé dans la même soirée, un Gala en hommage au Rebelle. Parmi la pléiade d’artistes kabyles, il y avait notamment Malika Domrane, Akli D, Malik Bellili, Saïd Khazem, Salah Gaoua et Ali Amran.
Notons, enfin que la plaque indiquant le nom de l’allée « Matoub Lounès, Chanteur et poète kabyle, militant de la liberté d’expression » est érigée à Saint-Etienne dans un Parc baptisé au nom de François Mitterrand et que cette plaque, au grand soulagement de tous, ne mentionnait nullement « Matoub Lounès, poète et chanteur algérien d’expression berbère, assassiné en Kabylie », comme l’avait fait la mairie de Paris en 2008 sous la houlette du maire Bertrand Delanoë. Cette inscription scandaleuse avait soulevé la colère de nombreux kabyles, estimant à juste titre que cette plaque était une infamie, une grave insulte à Matoub Lounès et à la Kabylie, exactement comme si c’était " l’Algérie qui avait enfanté l’illustre Rebelle et que c’était la Kabylie qui l’avait assassiné" … un comble.
Rappelons également que plusieurs villes de France ont inauguré des rues, des places ou des allées au nom de Matoub Lounès en France, notamment à Paris dans le 19ème, à Aubervilliers, à Saint-Martin-d'Hères près de Grenoble, à Vaulx-en-Velin, près de Lyon, à Pierrefitte-sur-Seine, à Nancy, à Argenteuil, à Arcueil, à Sarcelles, à Dijon. Une maison de quartier et une crèche portent aussi son nom dans la ville de Montreuil, en Seine-Saint-Denis.
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SIWEL 081528 JUIN 15
Notons, enfin que la plaque indiquant le nom de l’allée « Matoub Lounès, Chanteur et poète kabyle, militant de la liberté d’expression » est érigée à Saint-Etienne dans un Parc baptisé au nom de François Mitterrand et que cette plaque, au grand soulagement de tous, ne mentionnait nullement « Matoub Lounès, poète et chanteur algérien d’expression berbère, assassiné en Kabylie », comme l’avait fait la mairie de Paris en 2008 sous la houlette du maire Bertrand Delanoë. Cette inscription scandaleuse avait soulevé la colère de nombreux kabyles, estimant à juste titre que cette plaque était une infamie, une grave insulte à Matoub Lounès et à la Kabylie, exactement comme si c’était " l’Algérie qui avait enfanté l’illustre Rebelle et que c’était la Kabylie qui l’avait assassiné" … un comble.
Rappelons également que plusieurs villes de France ont inauguré des rues, des places ou des allées au nom de Matoub Lounès en France, notamment à Paris dans le 19ème, à Aubervilliers, à Saint-Martin-d'Hères près de Grenoble, à Vaulx-en-Velin, près de Lyon, à Pierrefitte-sur-Seine, à Nancy, à Argenteuil, à Arcueil, à Sarcelles, à Dijon. Une maison de quartier et une crèche portent aussi son nom dans la ville de Montreuil, en Seine-Saint-Denis.
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