Vue de la ville de Tigzirt. PH/DR
Les citoyens d’Ifilssen Lavhar exigent une enquête pour déterminer les causes exactes et les responsables de ce drame. Depuis la mort de cette jeune femme, les services de sécurité « encerclent » la polyclinique de la ville de Tigzirt. Cette structure sanitaire ressemblent de loin à une fourmilière vu le nombre impressionnant de policiers qui la surveillent jour comme nuit.
Selon les proches de la victime, âgée seulement de 22 ans et habitante du village Ighil Boussouel à Iflissen, c’est la négligence du personnel médical qui est à l’origine de la mort de cette femme qui n’est pas pourtant à son premier accouchement.
Les autorités locales craignent la réaction des villageois d’Iflissen Lavhar. Des échos qui nous sont parvenus de la région font état de la volonté des habitants de la région de saccager cette polyclinique qui n’a de clinique que le nom.
Elle est dépourvue, et depuis plusieurs années, des moyens matériels médicaux les plus élémentaires. Aucun médecin spécialiste n’y est affecté. Le jour de la mort de la jeune femme, c’est l’ambulance qui n’était pas disponible pour évacuer la parturiente vers le CHU du la ville de Tizi Wezu, selon une source hospitalière.
« On se demande comment nos dirigeants dotent chaque commune de brigade de gendarmerie, de police, de militaires, de gardes communaux, mais ne cherchent jamais à doter des infrastructures sanitaires même pas avec des médicaments ou de matériel médical. Nous vivons dans état policier. La santé et les autres préoccupations des citoyens n’intéressent aucun responsable dans ce pays.
Des vies humaines sont perdues mais personne ne réagit », fulmine un habitant de la région.
Une semaine après ce drame, aucun responsable du secteur sanitaire n’a réagit pour donner plus de clarifications au sujet de cette affaire. Un silence qui démonter la responsabilité totale de personnel médical de Tigzirt. La sonnette d’alarme a été tirée à maintes reprises, mais en vain.
aai/tamurt
SIWEL 201417 OCT12
Selon les proches de la victime, âgée seulement de 22 ans et habitante du village Ighil Boussouel à Iflissen, c’est la négligence du personnel médical qui est à l’origine de la mort de cette femme qui n’est pas pourtant à son premier accouchement.
Les autorités locales craignent la réaction des villageois d’Iflissen Lavhar. Des échos qui nous sont parvenus de la région font état de la volonté des habitants de la région de saccager cette polyclinique qui n’a de clinique que le nom.
Elle est dépourvue, et depuis plusieurs années, des moyens matériels médicaux les plus élémentaires. Aucun médecin spécialiste n’y est affecté. Le jour de la mort de la jeune femme, c’est l’ambulance qui n’était pas disponible pour évacuer la parturiente vers le CHU du la ville de Tizi Wezu, selon une source hospitalière.
« On se demande comment nos dirigeants dotent chaque commune de brigade de gendarmerie, de police, de militaires, de gardes communaux, mais ne cherchent jamais à doter des infrastructures sanitaires même pas avec des médicaments ou de matériel médical. Nous vivons dans état policier. La santé et les autres préoccupations des citoyens n’intéressent aucun responsable dans ce pays.
Des vies humaines sont perdues mais personne ne réagit », fulmine un habitant de la région.
Une semaine après ce drame, aucun responsable du secteur sanitaire n’a réagit pour donner plus de clarifications au sujet de cette affaire. Un silence qui démonter la responsabilité totale de personnel médical de Tigzirt. La sonnette d’alarme a été tirée à maintes reprises, mais en vain.
aai/tamurt
SIWEL 201417 OCT12