«La Constitution algérienne est claire. Il n'y a pas d'infraction dans ce sens. Chacun est libre devant sa conscience» a déclaré Bouabdellah Ghlamallah, à propos des non-jeûneurs harcelés par les gendarmes algériens en Kabylie. Le ministre a fait cette déclaration hier, au cours d'une conférence portant sur l'organisation de la 10e édition du Prix international du Coran ,dans un lieu se nommant « Dar El Imam », à Alger. En fait, ces déclarations font écho à la mise en cause de la politique algérienne d’inquisition pratiquée en Kabylie et surtout au fait qu'elle soit combattu par la mobilisation citoyenne qui entend ne pas se laisser intimide en Kabylie, comme à Tigzirt, Aokas, Aqbou et Vgayet par exemple.
L'appel des citoyens kabyles à braver le jeune islamique obligatoire à Tizi-Ouzou semble perturber le ministre de la domestication religieuse. Aussi, revenant sur les non-jeûneurs kabyles réprimés par des éléments de la gendarmerie algérienne, le ministre des affaires religieuses tente de dédouaner son ministère de toute action inquisitrice et affirme que «les éléments de gendarmerie en question sont responsables de leurs actes, devant la loi». Voilà qui va semer la zizanie dans les rangs des services de sécurités chargés de mettre en application la politique d’inquisition du régime ordonnée par le ministère de la religion.
Cependant, malgré cette tentative maladroite de se laver de toute manipulation religieuse, le ministre n’a pas pu s’empêcher de faire un appel "discret" à empêcher ces non-jeûneurs de braver publiquement cette inquisition : « les citoyens (comprendre de Kabylie) doivent convaincre leurs pairs, afin de ne pas manger publiquement pour éviter de heurter les sensibilités des autres jeûneurs » dit-il.
maa,
SIWEL 301952 JUI 13
L'appel des citoyens kabyles à braver le jeune islamique obligatoire à Tizi-Ouzou semble perturber le ministre de la domestication religieuse. Aussi, revenant sur les non-jeûneurs kabyles réprimés par des éléments de la gendarmerie algérienne, le ministre des affaires religieuses tente de dédouaner son ministère de toute action inquisitrice et affirme que «les éléments de gendarmerie en question sont responsables de leurs actes, devant la loi». Voilà qui va semer la zizanie dans les rangs des services de sécurités chargés de mettre en application la politique d’inquisition du régime ordonnée par le ministère de la religion.
Cependant, malgré cette tentative maladroite de se laver de toute manipulation religieuse, le ministre n’a pas pu s’empêcher de faire un appel "discret" à empêcher ces non-jeûneurs de braver publiquement cette inquisition : « les citoyens (comprendre de Kabylie) doivent convaincre leurs pairs, afin de ne pas manger publiquement pour éviter de heurter les sensibilités des autres jeûneurs » dit-il.
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SIWEL 301952 JUI 13