L'époque des cours dits « sauvages » de Tamazight connaissait un immense succès. Ici, le 23 avril 1981 à Bab Ezzouar avec Ferhat Mehenni, Mustapha Benkhemou et Salem Chaker (respectivement 2èm, 3èm et 4èm en partant de la gauche).
Grace au concours, venu à point, d’une association dite de parents d’élèves, le proviseur du Lycée "Sahoui Aldjia" est en passe de dispenser les élèves de la 1ere année secondaire de l’enseignement de Tamazight.
Nos sources nous indiquent que le proviseur en question s’est rendu dans une classe en plein examen de langue Tamazight pour informer les élèves que « celui qui pense ne pas avoir la moyenne dans cette matière [Tamazight] peut quitter l’examen et il sera dispensé de la matière »
La majorité des élèves n’a pas quitté la classe et à poursuivi l’examen de Tamazight. Une jeune fille a même osé braver les éventuels abus d’autorité, dont peuvent faire preuve certains commis de l'Etat raciste d'Alger comme le proviseur de ce Lycée, en répondant à l’offre de ce dernier par « moi, j’ai un 19/20 dans ma langue. Il n’est pas question de quitter l’enseignement de ma langue maternelle ». En revanche, une minorité d’élève a profité de l’indigne offre du proviseur mais, fort heureusement, c’est cette même minorité qui constitue la catégorie d’élèves qui se caractérise par un manque de sérieux dans les études. Des élèves, en effet, peu portée sur le travail et l'effort, cumulant les mauvais comportement et les mauvaises notes, aussi bien en tamazight que dans toutes les autres matières
Il y a lieu de signaler toutefois que ce proviseur est le seul qui ait osé étaler ainsi toute l’étendue de sa servilité au régime raciste d’Alger. Il a en effet défrayé la chronique des actes honteux du reniement de soi et du zèle qui caractérise ceux qui travaillent contre leur propre peuple car le proviseur du Lycée "Sahoui Aldjia" d’Iεezzugen ( Azazga ) veut carrément aller jusqu’à supprimer l’enseignement de tamazight et son coefficient du logiciel des relevés de notes…mais le ministre algérien de l’éducation nationale, n'avait-il pas dit, à Tizi-ouzou même, que Tamazight ne sera pas généralisé ?
Le proviseur de ce Lycée d’Iεezzugen semble vouloir forcer la main au principe de la "demande sociale" qui caractérise l’enseignement de Tamazight, un enseignement déjà largement entravé par toutes sortes de blocages, allant de son caractère facultatif à la démotivation des enseignants par une rémunération au lance-pierre avec des mois de retards, en plus de la dévalorisation et du mépris flagrant de l'Etat pour Tamzight: langue, culture ou identité
Pourtant, si on devait soumettre au principe de la « demande sociale » l’enseignement de l’arabe, une langue obligatoire, imposée par le régime arabo-islamiste d’Alger, monsieur le ministre de l’éducation nationale aurait bien des surprises, de manière certaine en Kabylie, mais pas seulement; sans compter que tous les algériens savent bien que les enfants des ministres qui arabisent les enfants du peuple sont tous scolarisés à Paris, Londres ou Washington.
zp,
SIWEL 111417 DEC 12
Nos sources nous indiquent que le proviseur en question s’est rendu dans une classe en plein examen de langue Tamazight pour informer les élèves que « celui qui pense ne pas avoir la moyenne dans cette matière [Tamazight] peut quitter l’examen et il sera dispensé de la matière »
La majorité des élèves n’a pas quitté la classe et à poursuivi l’examen de Tamazight. Une jeune fille a même osé braver les éventuels abus d’autorité, dont peuvent faire preuve certains commis de l'Etat raciste d'Alger comme le proviseur de ce Lycée, en répondant à l’offre de ce dernier par « moi, j’ai un 19/20 dans ma langue. Il n’est pas question de quitter l’enseignement de ma langue maternelle ». En revanche, une minorité d’élève a profité de l’indigne offre du proviseur mais, fort heureusement, c’est cette même minorité qui constitue la catégorie d’élèves qui se caractérise par un manque de sérieux dans les études. Des élèves, en effet, peu portée sur le travail et l'effort, cumulant les mauvais comportement et les mauvaises notes, aussi bien en tamazight que dans toutes les autres matières
Il y a lieu de signaler toutefois que ce proviseur est le seul qui ait osé étaler ainsi toute l’étendue de sa servilité au régime raciste d’Alger. Il a en effet défrayé la chronique des actes honteux du reniement de soi et du zèle qui caractérise ceux qui travaillent contre leur propre peuple car le proviseur du Lycée "Sahoui Aldjia" d’Iεezzugen ( Azazga ) veut carrément aller jusqu’à supprimer l’enseignement de tamazight et son coefficient du logiciel des relevés de notes…mais le ministre algérien de l’éducation nationale, n'avait-il pas dit, à Tizi-ouzou même, que Tamazight ne sera pas généralisé ?
Le proviseur de ce Lycée d’Iεezzugen semble vouloir forcer la main au principe de la "demande sociale" qui caractérise l’enseignement de Tamazight, un enseignement déjà largement entravé par toutes sortes de blocages, allant de son caractère facultatif à la démotivation des enseignants par une rémunération au lance-pierre avec des mois de retards, en plus de la dévalorisation et du mépris flagrant de l'Etat pour Tamzight: langue, culture ou identité
Pourtant, si on devait soumettre au principe de la « demande sociale » l’enseignement de l’arabe, une langue obligatoire, imposée par le régime arabo-islamiste d’Alger, monsieur le ministre de l’éducation nationale aurait bien des surprises, de manière certaine en Kabylie, mais pas seulement; sans compter que tous les algériens savent bien que les enfants des ministres qui arabisent les enfants du peuple sont tous scolarisés à Paris, Londres ou Washington.
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SIWEL 111417 DEC 12