Cary Sifferath, le directeur régional de l'USGC pour l'Afrique et la Méditerranée (PH/DR)
Ces suppressions touchent notamment les droits sur l'importation du maïs, des drêches de maïs de distillerie sèches avec solubles (DDSS) et le gluten de maïs fourrager (farine de gluten, CGF).
Auparavant, la TVA et les droits de douane avaient été fixés à 17 % pour les drêches de maïs et à 30 % pour la farine de gluten, des taux rédhibitoires qui d'ailleurs avaient réduit à néant les exportations de DDSS ou CGF américains vers l'Algérie. La TVA et les droits de douane pour le maïs était précédemment fixés entre 7 et 5 % respectivement.
La période de cette réduction se termine le 31 décembre 2012, l'USGC continue ses négociations avec les autorités algériennes pour obtenir les droits d'importation et une TVA réduite à des taux nuls, et qu'elles soient prolongés jusqu'en 2013.
Les drêches sont utilisées en alimentation animale comme source de protéine, elles entrent de plus en plus souvent dans la formulation des concentrés pour bovins, ovins et caprins.
« Sans efforts continus du Conseil et du soutien de nos alliés dans le secteur de l'alimentation algérienne, il n'est pas possible que des produits comme les DDSS et les CGF auraient été inclus dans la liste des ingrédients des aliments qui ont eu leurs droits de douane et la TVA réduites à zéro », a déclaré Cary Sifferath, le directeur régional de l'US Grains Council, un organisme sans but lucratif voué à accroître la rentabilité pour les agriculteurs américains à travers le développement des marchés d'exportation; son bureau pour l'Afrique et la Méditerranée est basé à Tunis.
Les drêches américaines qui sont bon marché, exportées notamment vers le Mexique, le Canada et la Chine, intéressent également les Européens, mais comme elles sont parfois produites avec des variétés de maïs OGM (organismes génétiquement modifiés), cela inquiète les détracteurs de ce type de culture.
En Algérie, un arrêté ministériel promulgué en décembre 2000 précise pourtant bien que « tout transfert artificiel de gènes sur le matériel végétal est strictement interdit ».
En mai 2009, le Conseil s'est associé avec l'organisme gouvernemental algérien, l'Office national des aliments du bétail (ONAB), pour procéder à des essais d'alimentation sur la prise en compte des drêches dans l'alimentation des poulets de chair.
wbw/aai
SIWEL 161609 SEP 12
Auparavant, la TVA et les droits de douane avaient été fixés à 17 % pour les drêches de maïs et à 30 % pour la farine de gluten, des taux rédhibitoires qui d'ailleurs avaient réduit à néant les exportations de DDSS ou CGF américains vers l'Algérie. La TVA et les droits de douane pour le maïs était précédemment fixés entre 7 et 5 % respectivement.
La période de cette réduction se termine le 31 décembre 2012, l'USGC continue ses négociations avec les autorités algériennes pour obtenir les droits d'importation et une TVA réduite à des taux nuls, et qu'elles soient prolongés jusqu'en 2013.
Les drêches sont utilisées en alimentation animale comme source de protéine, elles entrent de plus en plus souvent dans la formulation des concentrés pour bovins, ovins et caprins.
« Sans efforts continus du Conseil et du soutien de nos alliés dans le secteur de l'alimentation algérienne, il n'est pas possible que des produits comme les DDSS et les CGF auraient été inclus dans la liste des ingrédients des aliments qui ont eu leurs droits de douane et la TVA réduites à zéro », a déclaré Cary Sifferath, le directeur régional de l'US Grains Council, un organisme sans but lucratif voué à accroître la rentabilité pour les agriculteurs américains à travers le développement des marchés d'exportation; son bureau pour l'Afrique et la Méditerranée est basé à Tunis.
Les drêches américaines qui sont bon marché, exportées notamment vers le Mexique, le Canada et la Chine, intéressent également les Européens, mais comme elles sont parfois produites avec des variétés de maïs OGM (organismes génétiquement modifiés), cela inquiète les détracteurs de ce type de culture.
En Algérie, un arrêté ministériel promulgué en décembre 2000 précise pourtant bien que « tout transfert artificiel de gènes sur le matériel végétal est strictement interdit ».
En mai 2009, le Conseil s'est associé avec l'organisme gouvernemental algérien, l'Office national des aliments du bétail (ONAB), pour procéder à des essais d'alimentation sur la prise en compte des drêches dans l'alimentation des poulets de chair.
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SIWEL 161609 SEP 12