Si la réponse aux doléances des étudiants de Vgayet a surpris ces derniers qui ne s’attendaient pas à une telle parade, elle correspond néanmoins aux orientations de l’Etat que ce wali sert (et dont il se sert)…car ce n’est pas pour rien que M. Ahmed Hamou-Touhami est affublé du petit nom de « Hamou 10% », sa réputation de 10% largement établie lui a valu d’être délocalisé de Djelfa à…Vgayet, après avoir soulevé la colère d'un général de la gendarmerie algérienne, issue de la région de Djelfa justement.
Mais pour parer à ces nouveaux scandales de corruptions,ce wali, parfaitement informé de l’état d’esprit dans lequel baigne l’Etat algérien a su comment détourner l'affaire: agiter le chiffon rouge de la mixité "fille/garçon" face à sa hiérarchie. Et en effet, en détournant la question de la corruption des œuvres universitaires sur la question de la « mixité », ce wali sait qu’il va « faire mouche » auprès des arabo-islamo-baathiste qui règnent au sommet de l’Etat algérien. Ces derniers, conformément à leur idéologie arabo-islamiste, et à la totalité de leurs semblables du monde dit arabe, sont obsédés par les femmes. Or, il se trouve que sous le règne du despotisme arabo-islamique algérien, il n’y a plus qu’en Kabylie (Tizi-Ouzou et Vgayet) que subsistent quelques résidences universitaires mixtes, même si filles et garçons sont dans des immeubles séparés.
Quant à la question de la privatisation des œuvres universitaires, là aussi « Hamou 10% » sait qu’il va « faire mouche », la corruption étant, en Algérie la plus importante des institutions après l’arabisation et la salafisation. C’est pourquoi, M. Ahmed Hamou-Touhami, alias « Hamou 10% » a tenu ce discours hallucinant devant les élus de l’Assemblée populaire de wilaya à Vgayet pour expliquer que l’université de Vgayet ne trouvera la paix que quand « la mixité sera supprimée » et que « les œuvres universitaires seront privatisées.
« Hamou 10% » a même envoyé un courrier dans ce sens à Madame la ministre de l’enseignement algérien pour préserver la morale et les finance de la république arabo-islamique algérienne, menacée en Kabylie par la mixité fille/garçon et les protestations estudiantines dénonçant la corruption à grande échelle au sein de l'université.
zp,
SIWEL 251839 FEV 15
Mais pour parer à ces nouveaux scandales de corruptions,ce wali, parfaitement informé de l’état d’esprit dans lequel baigne l’Etat algérien a su comment détourner l'affaire: agiter le chiffon rouge de la mixité "fille/garçon" face à sa hiérarchie. Et en effet, en détournant la question de la corruption des œuvres universitaires sur la question de la « mixité », ce wali sait qu’il va « faire mouche » auprès des arabo-islamo-baathiste qui règnent au sommet de l’Etat algérien. Ces derniers, conformément à leur idéologie arabo-islamiste, et à la totalité de leurs semblables du monde dit arabe, sont obsédés par les femmes. Or, il se trouve que sous le règne du despotisme arabo-islamique algérien, il n’y a plus qu’en Kabylie (Tizi-Ouzou et Vgayet) que subsistent quelques résidences universitaires mixtes, même si filles et garçons sont dans des immeubles séparés.
Quant à la question de la privatisation des œuvres universitaires, là aussi « Hamou 10% » sait qu’il va « faire mouche », la corruption étant, en Algérie la plus importante des institutions après l’arabisation et la salafisation. C’est pourquoi, M. Ahmed Hamou-Touhami, alias « Hamou 10% » a tenu ce discours hallucinant devant les élus de l’Assemblée populaire de wilaya à Vgayet pour expliquer que l’université de Vgayet ne trouvera la paix que quand « la mixité sera supprimée » et que « les œuvres universitaires seront privatisées.
« Hamou 10% » a même envoyé un courrier dans ce sens à Madame la ministre de l’enseignement algérien pour préserver la morale et les finance de la république arabo-islamique algérienne, menacée en Kabylie par la mixité fille/garçon et les protestations estudiantines dénonçant la corruption à grande échelle au sein de l'université.
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SIWEL 251839 FEV 15