Ali Laskri, 1er secrétaire du FFS, est accusé de compromission par ses pairs. PH/DR
La réunion des frondeurs du FFS a eu lieu à Boghni, en Kabylie. Elle a réuni des dizaines de militants, de cadres et d’anciens responsables du parti. Lors de cette rencontre, les frondeurs ont dressé un tableau peu reluisant de la situation du parti et accusent la direction actuelle « d’inscrire le parti dans un jeu clanique pour préparer la succession à Bouteflika », et dont le 3e mandat prendra fin en 2014.
« Nous allons organisés plusieurs rencontres », ont indiqué des présents pour Siwel. Ces rencontres avec la société civile, auront pour objectif « d’appeler au rassemblement des militants authentiques du FFS », afin, aussi, « de préserver le parti de ces dérives ».
« Nous invitons même les membres de la direction à y prendre part », a indiqué pour sa part Samir Bouakouir, représentant du FFS à l’étranger, exclu des rangs du parti.
Les frondeurs ont mis sur pied, un comité qui sera chargé de préparer les rencontres.
Les frondeurs qui estiment que leurs actions visent aussi « à sauvegarder la ligne politique du parti », contre l’actuelle direction « compromise avec le régime », sont décidés à ne pas « baisser les bras », et appellent « à un arbitrage dans ce conflit ». Ils ont sollicité, par ailleurs, Ait Ahmed, à prendre position.
aai
SIWEL 29 1303 JUIN12
« Nous allons organisés plusieurs rencontres », ont indiqué des présents pour Siwel. Ces rencontres avec la société civile, auront pour objectif « d’appeler au rassemblement des militants authentiques du FFS », afin, aussi, « de préserver le parti de ces dérives ».
« Nous invitons même les membres de la direction à y prendre part », a indiqué pour sa part Samir Bouakouir, représentant du FFS à l’étranger, exclu des rangs du parti.
Les frondeurs ont mis sur pied, un comité qui sera chargé de préparer les rencontres.
Les frondeurs qui estiment que leurs actions visent aussi « à sauvegarder la ligne politique du parti », contre l’actuelle direction « compromise avec le régime », sont décidés à ne pas « baisser les bras », et appellent « à un arbitrage dans ce conflit ». Ils ont sollicité, par ailleurs, Ait Ahmed, à prendre position.
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SIWEL 29 1303 JUIN12