La coordination motive la fermeture des sièges par un certain nombre d’arguments qu’elle dit avoir présenté aux autorités prétendues compétentes en la matière: « notre rejet de ce choix de terrain est rationnel, nos arguments scientifiques, médicaux, techniques, démographiques et économiques ont été exposés tour à tour aux autorités locales et de la wilaya, à travers une déclaration transmise à tout chacun d’eux ». nous précise un représentant de la coordination.
Mais, précise notre interlocuteur, « avec la tournure actuelle de l’affaire "les pouvoirs publics" ne font que démontrer encore une fois leur surdité et leur mépris de la population en faisant fi de sa volonté. » Notre interlocuteur rajoutera même que « Selon certains d’entre eux, ce site devrait être un lieu touristique et pourrait être exploité si les responsables arrivent à mobiliser les fonds nécessaires. »
La coordination inter village reconnait que « la mise en place d’une décharge intercommunale contrôlée demeure une nécessité pour éradiquer le phénomène des décharges publiques sauvages qui nuisent à la santé publique et menace directement la faune et la flore » mais elle précise néanmoins, « qu’elle ne doit pas être implantée au cœur du poumon de la région ».
Cette zone, réputée pour la forte diversité de sa faune et de sa flore, à l’image de l’immense forêt de Mizrana, connaît cers derniers temps une dégradation en raison notamment de l’exploitation illégale du liège, la coupe des arbres et surtout les feux ravageurs qui ne cessent d’abimer des centaines d’hectares chaque année surtout en période de grande chaleur. « Les autorités compétentes devraient vite réagir en vue de mettre fin à ce phénomène qui ne cesse de s’amplifier ces derniers jours à cause de l’incivisme des citoyens et de la défaillance conjugués des responsables en charge de ce secteur. » a averti un des membres du comité
Aujourd’hui, plus que jamais, la coordination semble déterminée à rejeter le choix du terrain qui ne peut convenir à une décharge publique que l’on tente de camoufler sous un l’emballage de « centre d’enfouissement technique » une appellation remise en cause par ses propres inventeurs. Les autorités sont face un à une situation délicate et n’ont d’autre choix que de revoir leur stratégie en choisissant un autre terrain, plus adéquat, en dehors de cette zone réputée pour sa forte densité forestière. Au lieu de penser à créer une décharge publique dans ce lieu précis, la logique voudrait qu’il faut plutôt penser à sauver ce poumon d’oxygène qui est par ailleurs d’une beauté extraordinaire.
nb,
SIWEL 061449 MARS 13
Mais, précise notre interlocuteur, « avec la tournure actuelle de l’affaire "les pouvoirs publics" ne font que démontrer encore une fois leur surdité et leur mépris de la population en faisant fi de sa volonté. » Notre interlocuteur rajoutera même que « Selon certains d’entre eux, ce site devrait être un lieu touristique et pourrait être exploité si les responsables arrivent à mobiliser les fonds nécessaires. »
La coordination inter village reconnait que « la mise en place d’une décharge intercommunale contrôlée demeure une nécessité pour éradiquer le phénomène des décharges publiques sauvages qui nuisent à la santé publique et menace directement la faune et la flore » mais elle précise néanmoins, « qu’elle ne doit pas être implantée au cœur du poumon de la région ».
Cette zone, réputée pour la forte diversité de sa faune et de sa flore, à l’image de l’immense forêt de Mizrana, connaît cers derniers temps une dégradation en raison notamment de l’exploitation illégale du liège, la coupe des arbres et surtout les feux ravageurs qui ne cessent d’abimer des centaines d’hectares chaque année surtout en période de grande chaleur. « Les autorités compétentes devraient vite réagir en vue de mettre fin à ce phénomène qui ne cesse de s’amplifier ces derniers jours à cause de l’incivisme des citoyens et de la défaillance conjugués des responsables en charge de ce secteur. » a averti un des membres du comité
Aujourd’hui, plus que jamais, la coordination semble déterminée à rejeter le choix du terrain qui ne peut convenir à une décharge publique que l’on tente de camoufler sous un l’emballage de « centre d’enfouissement technique » une appellation remise en cause par ses propres inventeurs. Les autorités sont face un à une situation délicate et n’ont d’autre choix que de revoir leur stratégie en choisissant un autre terrain, plus adéquat, en dehors de cette zone réputée pour sa forte densité forestière. Au lieu de penser à créer une décharge publique dans ce lieu précis, la logique voudrait qu’il faut plutôt penser à sauver ce poumon d’oxygène qui est par ailleurs d’une beauté extraordinaire.
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SIWEL 061449 MARS 13