Assassinés par les hordes islamistes, les victimes du terrorisme, voient aujourd'hui leurs assassins protégés et récompensé par le régime algérien . Ici, l'annonce de l'assassinat de Tahar Djaout par les hordes islamistes. (PH/DR)
Il convient de rappeler que de nombreux terroristes islamiste ayant bénéficié de la loi scélérate de réconciliation nationale, ont non seulement été absous de leurs crimes de sangs, mais ils ont été de plus gratifié de fonds et de registres de commerce. Plusieurs terroristes, dits « repentis » se sont ainsi retrouvés à la tête d’entreprises économiques et se sont retrouvé du jour au lendemain millionnaires grâce au terrorisme.
La décennie noire qui a enregistré 250 000 personnes assassinées par les hordes islamistes s’est soldée par l’amnistie et la récompense économique des assassins de Djaout, de Boucebci, de Yefsah, de Mekbel de Djahnine, de Katia Benghana et de tant et tant d’autres. Leurs assassins se pavanent aujourd’hui librement avec en guise de récompense, la protection de l’Etat et de très coquettes sommes d’argents en plus des fonds et registres de commerce auxquels aucun honnête citoyen ne peut accéder ! L'Etat algérien fait officiellement « l’apologie du terrorisme ».
Quant à la société civile, pour préserver les intérêts du régime qui s'accommode du salafisme et partage avec eux les rennes du pouvoir, le pouvoir sur la société civile est livré aux islamistes, tandis que le pouvoir économique, basé sur la rente des hydrocarbures continue de profiter aux barons du régime.
cj,
SIWEL 171457 JUI 13
La décennie noire qui a enregistré 250 000 personnes assassinées par les hordes islamistes s’est soldée par l’amnistie et la récompense économique des assassins de Djaout, de Boucebci, de Yefsah, de Mekbel de Djahnine, de Katia Benghana et de tant et tant d’autres. Leurs assassins se pavanent aujourd’hui librement avec en guise de récompense, la protection de l’Etat et de très coquettes sommes d’argents en plus des fonds et registres de commerce auxquels aucun honnête citoyen ne peut accéder ! L'Etat algérien fait officiellement « l’apologie du terrorisme ».
Quant à la société civile, pour préserver les intérêts du régime qui s'accommode du salafisme et partage avec eux les rennes du pouvoir, le pouvoir sur la société civile est livré aux islamistes, tandis que le pouvoir économique, basé sur la rente des hydrocarbures continue de profiter aux barons du régime.
cj,
SIWEL 171457 JUI 13