université Mouloud Mameri (PH/DR)
Les jeunes bacheliers, passés la joie de l’obtention du précieux Baccalauréat, sont maintenant dans le désarroi et l’inquiétude en raison des choix très restreints des filières accessibles. Souvent, les choix laissés aux futurs étudiants sont incohérents car fixé selon la « loi de l’offre et de la demande » et non selon leur filières d’origine. Ainsi, selon sa moyenne obtenue au Bac, un élève de la série science ou math, avec une moyenne entre 10 et 12, se verra proposer comme seuls choix des études de langues étrangères, de littérature, de cinéma ou de théâtre, et inversement, un lycéen ayant obtenu un bac littéraire avec une moyenne de 14 se verra proposer des études de médecine, d’informatique ou de mathématique : « On se croirait dans une usine ou dans un marché de vente en gros où les prix sont réglés selon une logique d’offre et de demande » dira un jeune bachelier dépité par ces contraintes qualifiées, à juste titre, « d’absurde ».
En effet, si le critère de la moyenne peut être un critère de sélection, la sélection doit cependant respecter un minimum de cohérence car faire faire des études de médecine à un littéraire et des études de dessin à un scientifique est effectivement absurde. Les futurs étudiants sont d’ores et déjà soumis à rude épreuve : choix express et restreints en des temps records, 7 jours pour les préinscriptions (du 7 au 13 juillet), 2 jours pour les confirmations des préinscriptions (du 14 au 16 juillet), 5 jours pour les inscriptions finales (du 27 au 31 juillet) et gare aux erreurs car il sera quasi impossible de revenir en arrière malgré une période d’affectation des recours qui s’étalera sur 4 jours, du 24 au 27 juillet.
Bien évidemment, l’absurdité de ces contraintes de temps et de choix ne concernent pas les enfants de la nomenclature du régime algérien.
mel,
SIWEL 121542 JUI 13
En effet, si le critère de la moyenne peut être un critère de sélection, la sélection doit cependant respecter un minimum de cohérence car faire faire des études de médecine à un littéraire et des études de dessin à un scientifique est effectivement absurde. Les futurs étudiants sont d’ores et déjà soumis à rude épreuve : choix express et restreints en des temps records, 7 jours pour les préinscriptions (du 7 au 13 juillet), 2 jours pour les confirmations des préinscriptions (du 14 au 16 juillet), 5 jours pour les inscriptions finales (du 27 au 31 juillet) et gare aux erreurs car il sera quasi impossible de revenir en arrière malgré une période d’affectation des recours qui s’étalera sur 4 jours, du 24 au 27 juillet.
Bien évidemment, l’absurdité de ces contraintes de temps et de choix ne concernent pas les enfants de la nomenclature du régime algérien.
mel,
SIWEL 121542 JUI 13