Mise au point à la Dépêche de Kabylie
Dans votre édition d’aujourd’hui, dimanche 1er septembre, et sous la signature de Karima Talis, en page 5, un article est réservé au rassemblement de soutien à Zedek Mouloud. Usant de notre droit de réponse, nous vous prions de publier cette mise au point en lieu et place de l’article incriminé. Hormis la volonté de la journaliste de dénaturer la réalité, il en ressort qu’elle a poussé l’outrecuidance jusqu’à endosser aux citoyens du village d’At Khalfoun la responsabilité des menaces et des pressions que l’artiste Zedek Mouloud a subies. Un mensonge qui rappelle, hélas, la couverture médiatique que réservaient les médias du parti unique à toutes activités kabyles et amazighes.
La journaliste franchit le Rubicon en mettant au conditionnel le fait que l’artiste « aurait » subit des pressions. Sous d’autres cieux, cela relève du travail des services de sécurité et non pas de la presse. Elle ne s’est pas contentée de diffamation à l’encontre de l’artiste et des citoyens du village At Khalfoun, elle ira jusqu’à désigner le MAK comme le seul « organisateur » du rassemblement, alors que tout le monde sait que ce mouvement a apporté son soutien au rassemblement que d’autres fans et admirateurs de l’artiste ont organisé. Zedek Mouloud est un artiste qui ne choisi pas ses fans.
Qu’ils soient du MAK ou d’un autre horizon, les admirateurs de l’artiste ont fait preuve de courage et de solidarité en bravant les pressions et les menaces pour lui exprimer leur soutien. Quant au MAK, c’est un mouvement politique kabyle en qui, nous le pensions profondément, des Kabyles adhérent et que leur engagement et leur militantisme est à respecter. Même le nom de Lounes Matoub ne semble pas trouvé grâce aux yeux de la journaliste. Elle a préféré évoquer la place de l’Olivier en lieu et place de celle Matoub Lounes. Heureusement que le ridicule ne tue pas.
Collectif des citoyens du village d’At Khalfoun
SIWEL 01 1523 SEP 13
Dans votre édition d’aujourd’hui, dimanche 1er septembre, et sous la signature de Karima Talis, en page 5, un article est réservé au rassemblement de soutien à Zedek Mouloud. Usant de notre droit de réponse, nous vous prions de publier cette mise au point en lieu et place de l’article incriminé. Hormis la volonté de la journaliste de dénaturer la réalité, il en ressort qu’elle a poussé l’outrecuidance jusqu’à endosser aux citoyens du village d’At Khalfoun la responsabilité des menaces et des pressions que l’artiste Zedek Mouloud a subies. Un mensonge qui rappelle, hélas, la couverture médiatique que réservaient les médias du parti unique à toutes activités kabyles et amazighes.
La journaliste franchit le Rubicon en mettant au conditionnel le fait que l’artiste « aurait » subit des pressions. Sous d’autres cieux, cela relève du travail des services de sécurité et non pas de la presse. Elle ne s’est pas contentée de diffamation à l’encontre de l’artiste et des citoyens du village At Khalfoun, elle ira jusqu’à désigner le MAK comme le seul « organisateur » du rassemblement, alors que tout le monde sait que ce mouvement a apporté son soutien au rassemblement que d’autres fans et admirateurs de l’artiste ont organisé. Zedek Mouloud est un artiste qui ne choisi pas ses fans.
Qu’ils soient du MAK ou d’un autre horizon, les admirateurs de l’artiste ont fait preuve de courage et de solidarité en bravant les pressions et les menaces pour lui exprimer leur soutien. Quant au MAK, c’est un mouvement politique kabyle en qui, nous le pensions profondément, des Kabyles adhérent et que leur engagement et leur militantisme est à respecter. Même le nom de Lounes Matoub ne semble pas trouvé grâce aux yeux de la journaliste. Elle a préféré évoquer la place de l’Olivier en lieu et place de celle Matoub Lounes. Heureusement que le ridicule ne tue pas.
Collectif des citoyens du village d’At Khalfoun
SIWEL 01 1523 SEP 13