C’est donc dans cette perspective de valorisation de la femme amazighe que les 12 candidates, malheureuses qui n’auront pas gagné le prix Miss Djurdjura, seront recommandées à des entreprises par l’école « le Jardin secret » pour des recrutements comme « représentantes commerciales » ou « hôtesses d’accueil », Voilà une bien curieuse façon de valoriser le cursus universitaire de la femme amazighe.
L’initiative part sans doute d’un bon sentiment mais la vocation des étudiantes et des diplômées universitaires, c’est quand même de devenir, à l’aboutissement de leur études et diplômes universitaires, des cadres dans leur domaine d’étude et non pas à être embauchées comme « hôtesse d’accueil » qui ne requiert pas de diplôme universitaire mais dont la participation à un concours de beauté pourrait éventuellement être utile.
maa,
SIWEL 301511 DEC 13
L’initiative part sans doute d’un bon sentiment mais la vocation des étudiantes et des diplômées universitaires, c’est quand même de devenir, à l’aboutissement de leur études et diplômes universitaires, des cadres dans leur domaine d’étude et non pas à être embauchées comme « hôtesse d’accueil » qui ne requiert pas de diplôme universitaire mais dont la participation à un concours de beauté pourrait éventuellement être utile.
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SIWEL 301511 DEC 13