« Ils ont convoqué ma mère au siège de la Brigade mobile de la police judiciaire, BMPJ, de Beni Douala, pour qu’elle signe, de force, une déposition contre moi », a-t-il raconté. Dans cette déposition, il était clairement écrit que « je n’étais pas agressé par la police lors de mon arrestation », a-t-il tenu à préciser.
Devant le refus de la dame de signer cette déclaration, « un policier a pris de force ma main pour l’apposer dans l’encrier et signer de force cette déclaration », a témoigné la mère de Slimane.
De son coté, la victime a ajouté que « c’est la deuxième fois que le chef de la BMPJ de notre localité agit ainsi contre moi ». Il a rappelé qu’il a été victime d’une agression de la part du même responsable l’an dernier.
Quelques temps après, ajoute encore Slimane, « j’étais convoqué au siège de la BMPJ pour que je démente les déclarations de la presse ». Une chose que la victime de l’intolérance de la police de Bouteflika a refusée.
A rappeler que l’affaire de Slimane Rebaïne, agressé par des policiers, dont le chef de la BMPJ de Beni Douala a fait réagir la société civile kabyle contre cette intolérance.
Devant l’engagement de la Kabylie à sauvegarder ses convictions laïques, la police algérienne a demandé à la victime de déposer plainte contre ses agresseurs.
aai
SIWEL 31 1214 JUIL12
Devant le refus de la dame de signer cette déclaration, « un policier a pris de force ma main pour l’apposer dans l’encrier et signer de force cette déclaration », a témoigné la mère de Slimane.
De son coté, la victime a ajouté que « c’est la deuxième fois que le chef de la BMPJ de notre localité agit ainsi contre moi ». Il a rappelé qu’il a été victime d’une agression de la part du même responsable l’an dernier.
Quelques temps après, ajoute encore Slimane, « j’étais convoqué au siège de la BMPJ pour que je démente les déclarations de la presse ». Une chose que la victime de l’intolérance de la police de Bouteflika a refusée.
A rappeler que l’affaire de Slimane Rebaïne, agressé par des policiers, dont le chef de la BMPJ de Beni Douala a fait réagir la société civile kabyle contre cette intolérance.
Devant l’engagement de la Kabylie à sauvegarder ses convictions laïques, la police algérienne a demandé à la victime de déposer plainte contre ses agresseurs.
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