El Azrak Fikri (PH/DR)
Dans les dernières années, nous voyons le retour de la question Rifaine aux débats politiques de la majorité des activistes rifaines, et malgré les différentes visions de chaque groupe d’activistes pour le « projet politique du Rif » (autonomie, indépendance…etc.), nous observons qu’ils ont quasi les mêmes objectifs, et la même plateforme politique.
Nous observons aussi, dans les mêmes débats, plusieurs question à propos l’alternative politique et institutionnelle du Rif, et les diligences pour répondre sur ces questions et sur la question de « c’est quoi l’action ? » où « qu’est ce qu’on va faire ? », et ce genre de questions, nous ne les voyons plus comme prématurées mais la question fondamentale à laquelle il nous faut chercher une réponse est : « est ce que nous pourrons arriver à nous faire confiance entre nous pour notre cause ? »
Ce qui est très important dans le contexte actuel, c’est la confiance entre tous les groupes militants qui s’intéressent à la question du Rif, soit au niveau politique où au niveau des droits de l’homme, surtout que ces groupes ont le même arrière-plan idéologique, et la même référence qui est « les déclarations universelles des droits de l'homme », et « le droit international ».
Il y a plusieurs groupes, et plusieurs militants indépendants qui croient à la même solution pour la cause du Rif, mais ils ne sont pas encore arrivé au stade de s’engager et de s’organiser, comme les autres peuples et la raison peincipale est l’absence de confiance entre eux. C’est pour cela que la question de la confiance est une priorité par rapport aux autres questions politiques. C’est la première étape dans un chemin et des démarches qui seront très longues.
Le « projet politique du Rif » est un projet de tous les rifains, et surtout les activistes et les militants du pays (le Rif), et il n y a personne qui a les « droits réservées » de ce projet, où de la cause rifaine en général. Alors, il faut chercher les réponses à la question de la confiance entre les groupes d’activistes avant de parler des questions d’organisation et d’engagement politique.
La confiance permettra à tous d’éviter les doutes et les rumeurs, et alors, d’éviter les chocs entre les représentants de la cause rifaine sur la scène politique. Sans confiance et sans l’acceptation de l’autre opinion, de l’autre vision, nous nous pourrons pas arriver à répondre aux autres questions liées aux autres démarches politiques. Donc, il faut chercher un minimum de confiance pour éviter de perdre du temps dans des débats vides et passer à côté du fond de la cause.
Remarque : dans le contexte actuel, nous observons quelques anonymes qui essayent de publier des textes jettant le doute sur le président de la république du Rif « Mulya Munad Al-Khattabi » et d’autres publicaions qui sont autant de tentatives de forcer l’installation du doutes entre les rifains… alors il faut faire attention.
Par : El Azrak Fikri
e-mail : Fikri2959@yahoo.fr
facebook : http://www.facebook.com/fikri.elazrak.
Nous observons aussi, dans les mêmes débats, plusieurs question à propos l’alternative politique et institutionnelle du Rif, et les diligences pour répondre sur ces questions et sur la question de « c’est quoi l’action ? » où « qu’est ce qu’on va faire ? », et ce genre de questions, nous ne les voyons plus comme prématurées mais la question fondamentale à laquelle il nous faut chercher une réponse est : « est ce que nous pourrons arriver à nous faire confiance entre nous pour notre cause ? »
Ce qui est très important dans le contexte actuel, c’est la confiance entre tous les groupes militants qui s’intéressent à la question du Rif, soit au niveau politique où au niveau des droits de l’homme, surtout que ces groupes ont le même arrière-plan idéologique, et la même référence qui est « les déclarations universelles des droits de l'homme », et « le droit international ».
Il y a plusieurs groupes, et plusieurs militants indépendants qui croient à la même solution pour la cause du Rif, mais ils ne sont pas encore arrivé au stade de s’engager et de s’organiser, comme les autres peuples et la raison peincipale est l’absence de confiance entre eux. C’est pour cela que la question de la confiance est une priorité par rapport aux autres questions politiques. C’est la première étape dans un chemin et des démarches qui seront très longues.
Le « projet politique du Rif » est un projet de tous les rifains, et surtout les activistes et les militants du pays (le Rif), et il n y a personne qui a les « droits réservées » de ce projet, où de la cause rifaine en général. Alors, il faut chercher les réponses à la question de la confiance entre les groupes d’activistes avant de parler des questions d’organisation et d’engagement politique.
La confiance permettra à tous d’éviter les doutes et les rumeurs, et alors, d’éviter les chocs entre les représentants de la cause rifaine sur la scène politique. Sans confiance et sans l’acceptation de l’autre opinion, de l’autre vision, nous nous pourrons pas arriver à répondre aux autres questions liées aux autres démarches politiques. Donc, il faut chercher un minimum de confiance pour éviter de perdre du temps dans des débats vides et passer à côté du fond de la cause.
Remarque : dans le contexte actuel, nous observons quelques anonymes qui essayent de publier des textes jettant le doute sur le président de la république du Rif « Mulya Munad Al-Khattabi » et d’autres publicaions qui sont autant de tentatives de forcer l’installation du doutes entre les rifains… alors il faut faire attention.
Par : El Azrak Fikri
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