Page d'accueil du site de l'ambassade virtuelle des Etats-Unis en Iran. (PH/DR)
La Secrétaire d’État américaine, Hillary Clinton, a inauguré le site internet en déclarant « Nous sommes fiers de lancer notre ambassade virtuelle américaine de Téhéran. Il est de notre mission au peuple iranien. Cet endroit est pour vous. »
Elle a qualifié ce moyen de fil conducteur permettant aux Américains et aux Iraniens de communiquer sans crainte. « C'est une plate-forme pour communiquer les uns avec les autres, ouvertement et sans crainte, à propos des États-Unis, sur nos politiques, notre culture et le peuple américain. Vous pouvez également trouver ici des informations sur les possibilités d'études aux États-Unis, ou pour obtenir un visa pour venir nous rendre visite », a-t-elle déclaré.
Le site est opérationnel depuis mardi matin, en guise de bienvenue, sur la page d'accueil une vidéo de la Secrétaire d’État, qui dit que le site vise à aider à combler le fossé qui s'est créé entre les deux peuples lorsque les relations diplomatiques ont été coupées depuis plus de 30 ans.
Lors du déploiement de cette quasi-ambassade, Wendy Sherman, la sous-secrétaire d'État aux affaires politiques, a déclaré que c'était un effort pour contourner le « rideau électronique » érigé par le gouvernement de Téhéran qui a procédé au blocage des liens Internet entre les Iraniens et le monde extérieur. Elle a précisé qu'il n'y avait eu aucune tentative par l'Iran de bloquer le site américain dans ses premières heures de fonctionnement. Mais, indique-t-elle, il existe des plans de contingence dans le cas où cela arriverait.
Les États-Unis et l'Iran n'ont plus de relations diplomatiques depuis 1980, après que, le 4 novembre 1979, quelque 400 « étudiants islamiques » partisans de la révolution islamique en Iran initiée par l'Ayatollah Khomeini, aient pris d'assaut l'ambassade américaine à Téhéran et aient pris en otage plus de 50 Américains, pendant plus de 444 jours.
L'Iran a eu une « section d'intérêts » diplomatiques à Washington, qui faisait partie techniquement de l'ambassade du Pakistan. Pendant plusieurs années, elle gérait les services consulaires des ressortissants iraniens aux États-Unis.
Le site est disponible en anglais et en persan.
wbw/cc
SIWEL 070259 DEC 11
Elle a qualifié ce moyen de fil conducteur permettant aux Américains et aux Iraniens de communiquer sans crainte. « C'est une plate-forme pour communiquer les uns avec les autres, ouvertement et sans crainte, à propos des États-Unis, sur nos politiques, notre culture et le peuple américain. Vous pouvez également trouver ici des informations sur les possibilités d'études aux États-Unis, ou pour obtenir un visa pour venir nous rendre visite », a-t-elle déclaré.
Le site est opérationnel depuis mardi matin, en guise de bienvenue, sur la page d'accueil une vidéo de la Secrétaire d’État, qui dit que le site vise à aider à combler le fossé qui s'est créé entre les deux peuples lorsque les relations diplomatiques ont été coupées depuis plus de 30 ans.
Lors du déploiement de cette quasi-ambassade, Wendy Sherman, la sous-secrétaire d'État aux affaires politiques, a déclaré que c'était un effort pour contourner le « rideau électronique » érigé par le gouvernement de Téhéran qui a procédé au blocage des liens Internet entre les Iraniens et le monde extérieur. Elle a précisé qu'il n'y avait eu aucune tentative par l'Iran de bloquer le site américain dans ses premières heures de fonctionnement. Mais, indique-t-elle, il existe des plans de contingence dans le cas où cela arriverait.
Les États-Unis et l'Iran n'ont plus de relations diplomatiques depuis 1980, après que, le 4 novembre 1979, quelque 400 « étudiants islamiques » partisans de la révolution islamique en Iran initiée par l'Ayatollah Khomeini, aient pris d'assaut l'ambassade américaine à Téhéran et aient pris en otage plus de 50 Américains, pendant plus de 444 jours.
L'Iran a eu une « section d'intérêts » diplomatiques à Washington, qui faisait partie techniquement de l'ambassade du Pakistan. Pendant plusieurs années, elle gérait les services consulaires des ressortissants iraniens aux États-Unis.
Le site est disponible en anglais et en persan.
wbw/cc
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