Les intervenants, pour la plupart des médecins et des spécialistes venus de plusieurs structures sanitaires de toute l'Algérie ont abordé la question sous différents aspects.
A Tizi-Ouzou, le centre hospitalo-universitaire Ndir Mohamed enregistre chaque année 200 nouveaux cas d’insuffisance rénale chronique. A l’échelle algérienne, le chiffre enregistré est de 3000 cas.
Un taux de malades est en augmentation constante. Selon ces spécialistes, qui ont soulevé le problème des transplantations, une difficulté récurrente est celle de beaucoup de familles qui refusent le prélèvement de reins sur des personnes décédées parmi leurs proches, ce qui rend la mission des praticiens difficile et surtout, réduit les chances de sauver des vies.
tt
SIWEL 061755 DEC 11
A Tizi-Ouzou, le centre hospitalo-universitaire Ndir Mohamed enregistre chaque année 200 nouveaux cas d’insuffisance rénale chronique. A l’échelle algérienne, le chiffre enregistré est de 3000 cas.
Un taux de malades est en augmentation constante. Selon ces spécialistes, qui ont soulevé le problème des transplantations, une difficulté récurrente est celle de beaucoup de familles qui refusent le prélèvement de reins sur des personnes décédées parmi leurs proches, ce qui rend la mission des praticiens difficile et surtout, réduit les chances de sauver des vies.
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