Hassiba Boulmerka, membre du CNASPS (PH/DR)
La délégation algérienne, composée de Tayeb Zitouni, vice-président de la CNASPS et de Hassiba Boulmerka, membre du Comité et accessoirement ancienne athlète spécialiste des courses de demi-fond et qui fut, lors des jeux de Barcelone en 1992, la première à apporter une médaille d'or olympique au sport algérien.
Avant de se rendre à New York et Boston, la délégation restreinte algérienne a pu rencontré des memebres démocrates et républicains de la Chambre des représentants, ainsi que Suzanne Scholte, présidente de l'US-Western Sahara Foundation et Marselha Goncalves Margerin, directeur du plaidoyer chez RF Kennedy Center for Justice and Human Rights.
Rappelons que la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, avait affirmé en mars 2011 que le plan d'autonomie proposé par le Royaume du Maroc pour résoudre la question du Sahara occidental demeure une « proposition sérieuse, crédible et réaliste ».
L'Algérie, qui soutient les 300 000 Sahraouis pour avoir un référendum en vue de leur éventuelle autodétermination, s'est prise à son propre piège car le pouvoir algérien ne peut expliquer pourquoi cette règle de deux poids deux mesures : les observateurs se demandent pourquoi l'Algérie ne souhaite pas appliquer ce choix vis-à-vis du peuple kabyle qui exige sa liberté sur tout le territoire de l'ancienne Wilaya III.
wbw
SIWEL 162339 MAI 13
Avant de se rendre à New York et Boston, la délégation restreinte algérienne a pu rencontré des memebres démocrates et républicains de la Chambre des représentants, ainsi que Suzanne Scholte, présidente de l'US-Western Sahara Foundation et Marselha Goncalves Margerin, directeur du plaidoyer chez RF Kennedy Center for Justice and Human Rights.
Rappelons que la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, avait affirmé en mars 2011 que le plan d'autonomie proposé par le Royaume du Maroc pour résoudre la question du Sahara occidental demeure une « proposition sérieuse, crédible et réaliste ».
L'Algérie, qui soutient les 300 000 Sahraouis pour avoir un référendum en vue de leur éventuelle autodétermination, s'est prise à son propre piège car le pouvoir algérien ne peut expliquer pourquoi cette règle de deux poids deux mesures : les observateurs se demandent pourquoi l'Algérie ne souhaite pas appliquer ce choix vis-à-vis du peuple kabyle qui exige sa liberté sur tout le territoire de l'ancienne Wilaya III.
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