Ibrahim Ag Mohamed Assaleh, conduisant, le 9 juin 2012, la délégation du MNLA à Ouagadougou, en conversation avec le ministre burkinabè des Affaires étrangères Dijbril Bassolé.(Photo/AFP/Archives)
Pour rappel, le MNLA avait pris le contrôle de l’Azawad, mais isolé sur le plan international, il a ensuite été combattu par les groupes islamistes d’Aqmi, du Mujao et d’Ansar Dine : « À un moment donné, les terroristes nous ont attaqués et nos forces ont été dispersées. Mais nous continuons d’avoir des hommes et des armes. Et eux seuls, sont en mesure de distinguer qui est terroriste et qui n’est pas terroriste aujourd’hui dans l’Azawad. » explique Ibrahim Ag Mohamed Assaleh, ancien député du Nord-Mali qui a rejoint le MNLA, tout comme la quasi-totalité des élus et des militaires Touaregs.
S’exprimant sur les ondes de Reuters Television, Ibrahim Ag Mohamed Assaleh a déclaré que "Le MNLA veut combattre les terroristes aux côtés de la Cédéao et de la communauté internationale», « Les habitants de l'Azawad, pour qui nous combattons, sont les premières victimes de ce terrorisme et nous avons peur qu'ils ne deviennent aussi des victimes de l'opération militaire, en particulier l'armée malienne » a-t-il précisé.
Des représailles et des exécutions sommaires ont déjà été signalés à travers les organes d’informations proches des touaregs. L'Express, un journal français avait fait état d'exécutions sommaires et de chasse à l'homme à Sévaré. La Fédération Internationale des Droits de l'Homme (FIDH) ainsi que Human Rights Watch et Amnesty International ont également fait état d’exécutions sommaires par l'armée malienne sur les populations civiles du Nord. Celles-ci se compteraient déjà par dizaines.
source Reuters
mbb,
SIWEL 221829 JAN 13
S’exprimant sur les ondes de Reuters Television, Ibrahim Ag Mohamed Assaleh a déclaré que "Le MNLA veut combattre les terroristes aux côtés de la Cédéao et de la communauté internationale», « Les habitants de l'Azawad, pour qui nous combattons, sont les premières victimes de ce terrorisme et nous avons peur qu'ils ne deviennent aussi des victimes de l'opération militaire, en particulier l'armée malienne » a-t-il précisé.
Des représailles et des exécutions sommaires ont déjà été signalés à travers les organes d’informations proches des touaregs. L'Express, un journal français avait fait état d'exécutions sommaires et de chasse à l'homme à Sévaré. La Fédération Internationale des Droits de l'Homme (FIDH) ainsi que Human Rights Watch et Amnesty International ont également fait état d’exécutions sommaires par l'armée malienne sur les populations civiles du Nord. Celles-ci se compteraient déjà par dizaines.
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