Khaled Sid Mohand (Photo personnelle du journaliste publiée sur son compte FaceBook)
Le journal « Le Monde », dont il est collaborateur, estime qu’il a été arrêté pour « détention d’armes ». Plus aucun ami ne l'a revu depuis le 9 avril. Son portable a sonné dans le vide le premier jour et il est coupé depuis.
Khaled Sid Mohand a 40 ans, et est originaire de Aïn El-Hammam (wilaya de Tizi-Ouzou). Il pige régulièrement pour Radio France Internationale et réalise également des documentaires pour l’émission "Sur les docks" de France Culture.
La direction du groupe radiophonique public Radio France a demandé ce vendredi la libération de Khaled Sid Mohand, collaborateur de France Culture arrêté en Syrie.
"Radio France demande sa libération, ainsi que celle de tous les journalistes actuellement détenus en Syrie", conclut le communiqué.
L’ONG Reporters sans frontières a diffusé le 14 avril un communiqué évoquant cette arrestation, mais indiquant que d’autres ont également eu lieu depuis.
Les autorités algériennes, pour une fois, se sont mobilisées pour obtenir la libération du journaliste, et rejettent d’emblée toutes les accusations qui sont colportées contre le journaliste kabyle. Le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, dans une déclaration à la presse vendredi, dit suivre l’affaire « minute par minute. »
Par ce déploiement inhabituel pour la protection de ses ressortissants à l’étranger, le gouvernement algérien chercherait à se racheter, après les reproches qui lui avaient été adressés suite à l’arrestation d’un autre journaliste algérien, le 10 avril dernier, à l’aéroport de Damas.
ach
SIWEL 161545 AVR 11
Khaled Sid Mohand a 40 ans, et est originaire de Aïn El-Hammam (wilaya de Tizi-Ouzou). Il pige régulièrement pour Radio France Internationale et réalise également des documentaires pour l’émission "Sur les docks" de France Culture.
La direction du groupe radiophonique public Radio France a demandé ce vendredi la libération de Khaled Sid Mohand, collaborateur de France Culture arrêté en Syrie.
"Radio France demande sa libération, ainsi que celle de tous les journalistes actuellement détenus en Syrie", conclut le communiqué.
L’ONG Reporters sans frontières a diffusé le 14 avril un communiqué évoquant cette arrestation, mais indiquant que d’autres ont également eu lieu depuis.
Les autorités algériennes, pour une fois, se sont mobilisées pour obtenir la libération du journaliste, et rejettent d’emblée toutes les accusations qui sont colportées contre le journaliste kabyle. Le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, dans une déclaration à la presse vendredi, dit suivre l’affaire « minute par minute. »
Par ce déploiement inhabituel pour la protection de ses ressortissants à l’étranger, le gouvernement algérien chercherait à se racheter, après les reproches qui lui avaient été adressés suite à l’arrestation d’un autre journaliste algérien, le 10 avril dernier, à l’aéroport de Damas.
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