De D. à G. les trois chefs du RND, FLN et MSP composant l'alliance présidentielle (PH. Y.L)
Les trois walis (préfets) ont souligné lors d'une rencontre de concertation sur le développement local organisée par le Conseil national économique et social (CNES), « la nécessité d'améliorer les conditions de vie des populations et qui ont souffert pendant plus d'une décennie, des affres du terrorisme », ont-ils dit.
Ils ont recommandé une « attention particulière » des pouvoirs publics pour relancer l'investissement et une politique de promotion du logement rural ainsi que le développement de l'agriculture et de l'élevage. Ceci afin de « limiter l'exode rural et le retour des populations de ces régions montagneuses et enclavées ».
Pour le wali de Tizi-Ouzou, la relance doit passer par une « restauration de l'autorité de l'Etat » et « regagner la confiance des investisseurs potentiels et un rétablissement des passerelles entre les pouvoirs publics et les opérateurs privés ».
Ces dernières années, le pouvoir algérien est objet de sévères critiques de la part des partis de l'opposition du FFS et du RCD dominant les institutions locales, mais aussi du mouvement autonomiste MAK. Le pouvoir est constamment accusé de « saboter volontairement la région de Kabylie » en la privant de projets socio-économiques et en poussant les quelques investisseurs locaux à délocaliser leurs entreprises, vue le climat d'insécurité et la bureaucratie qui dominent en Kabylie.
Les plus hautes autorités de l'Etat algérien reconnaissent que la Kabylie enregistre un retard considérable comparativement aux autres régions d'Algérie en matière de relance économique.
uz
SIWEL 231610 OCT 11
Ils ont recommandé une « attention particulière » des pouvoirs publics pour relancer l'investissement et une politique de promotion du logement rural ainsi que le développement de l'agriculture et de l'élevage. Ceci afin de « limiter l'exode rural et le retour des populations de ces régions montagneuses et enclavées ».
Pour le wali de Tizi-Ouzou, la relance doit passer par une « restauration de l'autorité de l'Etat » et « regagner la confiance des investisseurs potentiels et un rétablissement des passerelles entre les pouvoirs publics et les opérateurs privés ».
Ces dernières années, le pouvoir algérien est objet de sévères critiques de la part des partis de l'opposition du FFS et du RCD dominant les institutions locales, mais aussi du mouvement autonomiste MAK. Le pouvoir est constamment accusé de « saboter volontairement la région de Kabylie » en la privant de projets socio-économiques et en poussant les quelques investisseurs locaux à délocaliser leurs entreprises, vue le climat d'insécurité et la bureaucratie qui dominent en Kabylie.
Les plus hautes autorités de l'Etat algérien reconnaissent que la Kabylie enregistre un retard considérable comparativement aux autres régions d'Algérie en matière de relance économique.
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SIWEL 231610 OCT 11