Cimetière où repose Nabila Djehnine, assassinée par les islamistes
Sur initiative de "la ballade littéraire de Bgayet" un recueillement sur la tombe de Nabila Djahnine a été organisé à l'occasion de la dix-huitième commémoration de son ignoble assassinat. Sa famille en compagnie de militants du MAK, du PST, d'anonymes et d' artistes kabyles ont tenu à être présents pour rendre hommage à la militante incorruptible assassiné par les terroristes islamistes le 15 février 1995 à Tizi-Ouzou.
Après l'observation d'une minute de silence, plusieurs poètes se sont succédé pour lire des poèmes dédiée à Nabila Djahinine, la mémoire de la militante assassinée par les hordes intégristes.
La délégation du MAK conduite par Djamal Ikni, Hocine Bouhala et Samir Bourouchou, membres du conseil national a déposé une gerbe de fleur à la mémoire de la militante de la démocratie et des droit de la femme. la délégation s'est entretenu avec la soeur de la martyre pour lui exprimer la sympathie du mouvement et sa détermination à faire triompher la liberté et la laïcité, indissociable du droit des femmes.
Pour rappel, Nabila Djahnine présidait l'association "Thighri n tmetut" (Cri de femme), une association qui tentait de libérer les femmes de la prison dans laquelle les avaient enfermées le code de la famille de l'état algérien en leur offrant la possibilité d'avoir des activités dans les espaces publics. Elle avait également milité dans le Mouvement culturel Berbère (MCB). Son association activait dans plusieurs villages du département de Tizi-Ouzou en Kabylie.
cbd,
SIWEL 152353
Après l'observation d'une minute de silence, plusieurs poètes se sont succédé pour lire des poèmes dédiée à Nabila Djahinine, la mémoire de la militante assassinée par les hordes intégristes.
La délégation du MAK conduite par Djamal Ikni, Hocine Bouhala et Samir Bourouchou, membres du conseil national a déposé une gerbe de fleur à la mémoire de la militante de la démocratie et des droit de la femme. la délégation s'est entretenu avec la soeur de la martyre pour lui exprimer la sympathie du mouvement et sa détermination à faire triompher la liberté et la laïcité, indissociable du droit des femmes.
Pour rappel, Nabila Djahnine présidait l'association "Thighri n tmetut" (Cri de femme), une association qui tentait de libérer les femmes de la prison dans laquelle les avaient enfermées le code de la famille de l'état algérien en leur offrant la possibilité d'avoir des activités dans les espaces publics. Elle avait également milité dans le Mouvement culturel Berbère (MCB). Son association activait dans plusieurs villages du département de Tizi-Ouzou en Kabylie.
cbd,
SIWEL 152353