malgré la mobilisation générale de l'ensemble des commis de l'Etat et des voyous à la solde du Bachagha Ould Ali, le festival de danse arabo-africain est un échec cuisant. (PH/DR)
Face à l’échec du festival de danse arabe dans la capitale du Djurdjura, les forces de l'ordre ont arrêté un militant du MAK de Sétif, Mouloud Younsi. Il a été arrêté, hier en fin d'après-midi, en face de la maison de la culture Mouloud Mammeri qui sert de QG au Bachagha Ould Ali pour la mise en œuvre des « plans » diaboliques de ses sponsors. Mouloud Younsi a été libérée à minuit, après plusieurs heures d’interrogatoire sur ses intentions de perturber le festival de la direction de la culture.
Pour information, ce festival de danse arabo-africaine a généré une enveloppe de 14 milliards de centimes pour faire défiler à Tizi-Ouzou des « danseuses du ventre » alors que les infrastructures de base, notamment les centres de santé, manquent cruellement en Kabylie. Dès lors, il n’est pas étonnant que le peuple kabyle boude cette manifestation qui relève du mépris et de la provocation. Le MAK avec son discours qui met publiquement à nu les desseins des fossoyeurs de la Kabylie, à commencer par les Bachaghas actionnés en kabylie, en particulier le plus emblématique d’entres-eux, Ould Ali Lhadi.
Aussi, face à ce festival de la honte qui a été une véritable claque au Bachagha Ould-Ali, c’est un militant du MAK, Mouloud Younsi, qui fait les frais de la rage du Bachagha et de sa ministre pour avoir échoué dans leur mission. Ils ont donc trouvé leur bouc émissaire en la personne de ce militant du MAK accusé d’avoir cherché à perturber le "bon déroulement" d’un festival "arabo-africain" boudé par les citoyens de Tizi-Ouzou. Malgré la mobilisation générale des voyous et autres serviteurs zélés du régime anti-kabyle, le boycott était flagrant.
La capitale du Djurdjura a bel et bien tourné le dos à la dernière insulte en date du régime algérien : organiser un défilé de dance du ventre, sous le thème ridicule de « danser l’Algérie indépendante » quand la Kabylie est soumise à une politique scélérate de destruction massive
zp,
SIWEL 051358 JUI 13
Pour information, ce festival de danse arabo-africaine a généré une enveloppe de 14 milliards de centimes pour faire défiler à Tizi-Ouzou des « danseuses du ventre » alors que les infrastructures de base, notamment les centres de santé, manquent cruellement en Kabylie. Dès lors, il n’est pas étonnant que le peuple kabyle boude cette manifestation qui relève du mépris et de la provocation. Le MAK avec son discours qui met publiquement à nu les desseins des fossoyeurs de la Kabylie, à commencer par les Bachaghas actionnés en kabylie, en particulier le plus emblématique d’entres-eux, Ould Ali Lhadi.
Aussi, face à ce festival de la honte qui a été une véritable claque au Bachagha Ould-Ali, c’est un militant du MAK, Mouloud Younsi, qui fait les frais de la rage du Bachagha et de sa ministre pour avoir échoué dans leur mission. Ils ont donc trouvé leur bouc émissaire en la personne de ce militant du MAK accusé d’avoir cherché à perturber le "bon déroulement" d’un festival "arabo-africain" boudé par les citoyens de Tizi-Ouzou. Malgré la mobilisation générale des voyous et autres serviteurs zélés du régime anti-kabyle, le boycott était flagrant.
La capitale du Djurdjura a bel et bien tourné le dos à la dernière insulte en date du régime algérien : organiser un défilé de dance du ventre, sous le thème ridicule de « danser l’Algérie indépendante » quand la Kabylie est soumise à une politique scélérate de destruction massive
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