Mohamed Said Oubelaid (PH/DR)
Membre créateur du parti islamiste wafa, il n’a pas nié «ses origines ». « Le wafa m'a appris la résistance », a-il déclaré sur les ondes de la radio locale de Tizi-Ouzou avant de s’en prendre au MAK.
A la question d’un journaliste sur la démarche du MAK en Kabylie, Mohamed Said Belaid déclarera : « Je suis nationaliste et je suis contre toute atteinte à l’unité nationale. Je suis pour l’unité nationale, chèrement acquise ». Il accuse le mouvement pour l’autonomie de la Kabylie de porter atteinte à l’unité nationale.
Évoquant sa participation aux élections législatives qui doivent se tenir en mai, le SG du PLJ dit ne pas être candidat aux prochaines législatives et qu’il « laisse la place aux jeunes ».
Concernant les réformes engagées par l’État algérien, Mohamed Said Belaid estime que celles-ci résultent des évènements du printemps « arabe ». Ces évènements ont, selon lui, un impacte direct ou indirect sur l’évolution politique en Algérie.
Il dénoncera par ailleurs le fait que le gouvernement algérien, à sa tête Ahmed Ouyahia, n’ait pas été changé à l’approche des élections, alors que le chef du gouvernement est à la tête d’un parti politique qui est le RND. Mohamed Said Belaid accusera les anciens partis de « pourrir » la scène politique algérienne. « C’est aux nouveaux partis d’assumer ce pourrissement » conclura t-il.
tt
SIWEL 311849 MAR 12
A la question d’un journaliste sur la démarche du MAK en Kabylie, Mohamed Said Belaid déclarera : « Je suis nationaliste et je suis contre toute atteinte à l’unité nationale. Je suis pour l’unité nationale, chèrement acquise ». Il accuse le mouvement pour l’autonomie de la Kabylie de porter atteinte à l’unité nationale.
Évoquant sa participation aux élections législatives qui doivent se tenir en mai, le SG du PLJ dit ne pas être candidat aux prochaines législatives et qu’il « laisse la place aux jeunes ».
Concernant les réformes engagées par l’État algérien, Mohamed Said Belaid estime que celles-ci résultent des évènements du printemps « arabe ». Ces évènements ont, selon lui, un impacte direct ou indirect sur l’évolution politique en Algérie.
Il dénoncera par ailleurs le fait que le gouvernement algérien, à sa tête Ahmed Ouyahia, n’ait pas été changé à l’approche des élections, alors que le chef du gouvernement est à la tête d’un parti politique qui est le RND. Mohamed Said Belaid accusera les anciens partis de « pourrir » la scène politique algérienne. « C’est aux nouveaux partis d’assumer ce pourrissement » conclura t-il.
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