La défense, lieu où un militaire en patrouille Vigipirate été agressé à l'arme blanche, le 25 mai 2013 (Photo/capture d'écran TF1)
Le jeune militaire blessé à la gorge, Cédric Cordier, est âgé de 23 ans. Il était en tenue et participait à une patrouille mixte armée-police, composée de trois hommes, lorsqu’il a été agressé vers 17H50. Il se trouvait dans la «salle d’échange» de la Défense, lieu de transit souterrain entre les accès aux transports en commun et les commerces.
Selon les premiers éléments de l’enquête, l’agresseur était grand, environ 1 mètre 90, il portait une barbe, un pull et un pantalon noirs. Selon le procureur de Nanterre, Robert Gelli, interrogé par l’AFP, le militaire a été frappé par derrière par cet homme qui lui a porté un coup au niveau de la nuque. Le procureur a évoqué «une arme blanche», sans préciser s’il s’agissait d’un couteau ou d’un cutter. L’agresseur «est parti sans dire un mot», a précisé à la presse le préfet des Hauts-de-Seine, Pierre-André Peynel.
«A ce stade», aucun lien n’est établi avec le meurtre à Londres d’un soldat britannique, mais «nous devons regarder toutes les hypothèses», a déclaré le président François Hollande, interrogé à Addis Abeba.
Il est à rappeler que cette agression intervient après le meurtre mercredi à Londres d’un soldat britannique par deux islamistes radicaux et également après les deux attentats qui ont touché les intérêts français à Agadez et Arlit, en plein pays touareg, et ou Areva exploite le précieux uranium.
Source AFP,
zp,
SIWEL 260004 MAI 13
Selon les premiers éléments de l’enquête, l’agresseur était grand, environ 1 mètre 90, il portait une barbe, un pull et un pantalon noirs. Selon le procureur de Nanterre, Robert Gelli, interrogé par l’AFP, le militaire a été frappé par derrière par cet homme qui lui a porté un coup au niveau de la nuque. Le procureur a évoqué «une arme blanche», sans préciser s’il s’agissait d’un couteau ou d’un cutter. L’agresseur «est parti sans dire un mot», a précisé à la presse le préfet des Hauts-de-Seine, Pierre-André Peynel.
«A ce stade», aucun lien n’est établi avec le meurtre à Londres d’un soldat britannique, mais «nous devons regarder toutes les hypothèses», a déclaré le président François Hollande, interrogé à Addis Abeba.
Il est à rappeler que cette agression intervient après le meurtre mercredi à Londres d’un soldat britannique par deux islamistes radicaux et également après les deux attentats qui ont touché les intérêts français à Agadez et Arlit, en plein pays touareg, et ou Areva exploite le précieux uranium.
Source AFP,
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