Le Premier ministre bulgare Boyko Borisov à l'inauguration de l'exposition "Hemus 2012", le 30/05/2012 à Plovdiv. (PH/Dariknews)
L'Algérie fait partie des 25 délégations officielles du monde entier ayant assisté à la cérémonie d'ouverture, représentées par les ministres de la défense et les attachés militaires.
Au total, près d'une 50aine de sociétés d'une 20aine de pays dont les Etats-Unis, Allemagne, Autriche, Pologne, France, Suède, Suisse, ainsi que les principaux fabricants de Bulgarie participent à cette manifestation de quatre jours, du 30 mai au 02 juin.
Au 1er jour de l'exposition, 2 contrats ont été signés : vente à l'Irak de 500 véhicules blindés de fabrication bulgare pour un montant de 75 millions d'euros et la société bulgare Kintex a vendu à l'Algérie des équipements spéciaux de défense pour un total de 36 millions d'euros.
La firme d'état bulgare Kintex fut, avant et après la chute du Mur de Berlin, accusée d'avoir violé de nombreux embargos, elle était au centre d'un trafic d'armes, notamment en 1992 à destination de l'Irak de Saddam Hussein, et de la Croatie, violant l'embargo de l'ONU, en vigeur à ce moment-là, en raison des guerres qui y régnaient.
En 2004, l'Inde avait rompu un contrat avec Kintex qui devait fournir l'armée indienne en Kalashnikov "AK-47", les députés indiens ayant découvert que Kintex avait arrêté de produire ces armes en 1979.
wbw
SIWEL 311301 MAI 12
Au total, près d'une 50aine de sociétés d'une 20aine de pays dont les Etats-Unis, Allemagne, Autriche, Pologne, France, Suède, Suisse, ainsi que les principaux fabricants de Bulgarie participent à cette manifestation de quatre jours, du 30 mai au 02 juin.
Au 1er jour de l'exposition, 2 contrats ont été signés : vente à l'Irak de 500 véhicules blindés de fabrication bulgare pour un montant de 75 millions d'euros et la société bulgare Kintex a vendu à l'Algérie des équipements spéciaux de défense pour un total de 36 millions d'euros.
La firme d'état bulgare Kintex fut, avant et après la chute du Mur de Berlin, accusée d'avoir violé de nombreux embargos, elle était au centre d'un trafic d'armes, notamment en 1992 à destination de l'Irak de Saddam Hussein, et de la Croatie, violant l'embargo de l'ONU, en vigeur à ce moment-là, en raison des guerres qui y régnaient.
En 2004, l'Inde avait rompu un contrat avec Kintex qui devait fournir l'armée indienne en Kalashnikov "AK-47", les députés indiens ayant découvert que Kintex avait arrêté de produire ces armes en 1979.
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