Conférence de l'EIN / FAES à Madrid le 25-04-2012 (PH / SIWEL)
« L'Après printemps arabe : le rôle de l'UE pour accompagner l'enracinement de la démocratie, la prééminence du droit et l'inclusivité » est le thème du séminaire organisé conjointement par le European Ideas Network, EIN, et la Fondation pour l'analyse et les études sociales, FAES, les 25 et 26 avril 2012 à Madrid, en Espagne.
Le séminaire a vu la participation entre autre de Jaime Mayor Oreja, vice-pésident d'EPP au parlement européen, responsable de la stratégie politique et de Javier Zarzalejos, Secrétaire général de la FAES.
La cession d'hier présidée par Tokia Saïfi, Présidente de la commission des affaires politiques, de sécurité et des droits de l'homme de l'Assemblée parlementaire euro-méditerranéenne a vu l'intervention de Hazem Abdelazim de la Société nationale pour le changement en Egypte, Mahmoud el May, membre de l'Assemblée constituante en Tunisie, Farid Ghadry président du parti réformateur syrien et Ferhat Mehenni président du Gouvernement provisoire kabyle.
« Les espoirs de changement politique suscités par les révolutions dites « arabes » à partir de décembre 2010 ont, un an plus tard, cédé la place sinon à l’inquiétude et la désillusion, du moins à l’interrogation. Le monde occidental en général et l’Europe en particulier, sont plus que jamais en quête de clés leur permettant de comprendre les dynamiques sociopolitiques et culturelles à l’œuvre dans cette zone géopolitique allant du Maroc à la Syrie, englobant au moins deux civilisations, arabe à l’Est et amazighe à l’Ouest. » a soutenu le président de l'Anavad en guise d'introduction à son intervention intitulée L’Europe et les « printemps arabes ».
bbi
SIWEL 261247 AVR 12
Le séminaire a vu la participation entre autre de Jaime Mayor Oreja, vice-pésident d'EPP au parlement européen, responsable de la stratégie politique et de Javier Zarzalejos, Secrétaire général de la FAES.
La cession d'hier présidée par Tokia Saïfi, Présidente de la commission des affaires politiques, de sécurité et des droits de l'homme de l'Assemblée parlementaire euro-méditerranéenne a vu l'intervention de Hazem Abdelazim de la Société nationale pour le changement en Egypte, Mahmoud el May, membre de l'Assemblée constituante en Tunisie, Farid Ghadry président du parti réformateur syrien et Ferhat Mehenni président du Gouvernement provisoire kabyle.
« Les espoirs de changement politique suscités par les révolutions dites « arabes » à partir de décembre 2010 ont, un an plus tard, cédé la place sinon à l’inquiétude et la désillusion, du moins à l’interrogation. Le monde occidental en général et l’Europe en particulier, sont plus que jamais en quête de clés leur permettant de comprendre les dynamiques sociopolitiques et culturelles à l’œuvre dans cette zone géopolitique allant du Maroc à la Syrie, englobant au moins deux civilisations, arabe à l’Est et amazighe à l’Ouest. » a soutenu le président de l'Anavad en guise d'introduction à son intervention intitulée L’Europe et les « printemps arabes ».
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SIWEL 261247 AVR 12