Tasekkurt n Jerjer: Dalila Amarouche (PH/DR)
Les activités ont commencé à 9H du matin: exposition murale, produits artisanaux, récital poétique et pour terminer une conférence débat a été animée par les militantes : la poétesse Dalila Amarouche connue sous le nom d’artiste : Tasekkurt n Jerjer, ainsi que l’avocate Fatiha Rahmouni, et l’écrivaine kabyle, Abassène Hassiba.
C’est dans une ambiance conviviale que se sont déroulé ces activités commémoratives qui ont drainé des centaines de femmes assoiffées de vivre pleinement leur culture. Ce rendez-vous à la fois culturel et politique, a été amplement apprécié par le public. Il a constitué un véritable voyage dans l’histoire pour redécouvrir les coutumes kabyles ancienne. En sus des expositions de l'art et des objets traditionnel traditionnels, des femmes ont procédé sur place à des activités artisanales telles que : azetta, asendu n yighi, taleght (poterie) … Des activités qui ont mis en lumière la participation de la femme kabyle d’antan dans l’économie de la Kabylie.
La conférence a porté sur le long cheminement du combat identitaire qui a atteint son point culminant avec la création du MAK suite aux tragiques événements de 2001 qui ont emporté pas moins de 128 kabyles, dont le plus jeune n'avait que 11 ans. Les conférencières ont mis particulièrement inssisté sur le fait que le peuple kabyle n’abdiquera jamais : « quelles que soient les déceptions et les pressions auxquelles il a fait face, le peuple kabyle demeurera intraitable sur sa dignité et sa liberté. Il ira toujours dans le sens de sa libération » a déclaré Dalila Amarouche à siwel.info.
Les organisatrices ont été satisfaites du travail accompli et n'ont pas été déçue par la participation féminine d'Iwaqquren. En effet plus de 500 femmes ont participé à l'événement avec un plaisir évident et une grande satisfaction du programme qui leur a été présenté .
da,
SIWEL 262354 AVR 13
C’est dans une ambiance conviviale que se sont déroulé ces activités commémoratives qui ont drainé des centaines de femmes assoiffées de vivre pleinement leur culture. Ce rendez-vous à la fois culturel et politique, a été amplement apprécié par le public. Il a constitué un véritable voyage dans l’histoire pour redécouvrir les coutumes kabyles ancienne. En sus des expositions de l'art et des objets traditionnel traditionnels, des femmes ont procédé sur place à des activités artisanales telles que : azetta, asendu n yighi, taleght (poterie) … Des activités qui ont mis en lumière la participation de la femme kabyle d’antan dans l’économie de la Kabylie.
La conférence a porté sur le long cheminement du combat identitaire qui a atteint son point culminant avec la création du MAK suite aux tragiques événements de 2001 qui ont emporté pas moins de 128 kabyles, dont le plus jeune n'avait que 11 ans. Les conférencières ont mis particulièrement inssisté sur le fait que le peuple kabyle n’abdiquera jamais : « quelles que soient les déceptions et les pressions auxquelles il a fait face, le peuple kabyle demeurera intraitable sur sa dignité et sa liberté. Il ira toujours dans le sens de sa libération » a déclaré Dalila Amarouche à siwel.info.
Les organisatrices ont été satisfaites du travail accompli et n'ont pas été déçue par la participation féminine d'Iwaqquren. En effet plus de 500 femmes ont participé à l'événement avec un plaisir évident et une grande satisfaction du programme qui leur a été présenté .
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SIWEL 262354 AVR 13
Hassiba Abassène et Fathiha Rahmouni, membres de l’exécutif du MAK