A son arrivée à Tripoli, le président soudanais a été accueilli par le président du CNT Moustapha Abdel Jalil et d'autres membres du gouvernement intérimaire libyen. El-Bechir a offert d'aider à désarmer les combattants et ex-rebelles libyens en proposant de les intégrer dans les forces réglementaires du pays, l'armée et la police.
« Nous avons une bonne expérience dans l'intégration des insurgés et de les entrer dans les forces armées ou la police », at-il annoncé.
L'organisation non-gouvernementale "Human Rights Watch" a déclaré que l'accueil d'el-Bechir « en Libye soulève des questions sur l'engagement déclaré du CNT pour les droits humains et la primauté du droit ».
Les révolutionnaires soudanais ont appelé les autorités libyennes à arrêter el-Bechir lors de sa visite et l'envoyer à la CPI. « Nous condamnons les autorités révolutionnaires (libyennes) de recevoir el-Béchir » a déclaré Ibrahim el-Hillu de l'Armée de Libération du Soudan, branche du Darfour.
En 2008, la Cour pénale internationale de La Haye a émis un mandat d'arrêt contre el-Bechir en l'accusant de génocide, crimes contre l'humanité et crimes de guerre commis dans la région du Darfour, début 2003.
Le 25 novembre 2011, Omar el-Bechir avait reçu à Khartoum le président du CNT, Moustapha Abdel Jalil.
wbw
SIWEL 081645 JAN 12
« Nous avons une bonne expérience dans l'intégration des insurgés et de les entrer dans les forces armées ou la police », at-il annoncé.
L'organisation non-gouvernementale "Human Rights Watch" a déclaré que l'accueil d'el-Bechir « en Libye soulève des questions sur l'engagement déclaré du CNT pour les droits humains et la primauté du droit ».
Les révolutionnaires soudanais ont appelé les autorités libyennes à arrêter el-Bechir lors de sa visite et l'envoyer à la CPI. « Nous condamnons les autorités révolutionnaires (libyennes) de recevoir el-Béchir » a déclaré Ibrahim el-Hillu de l'Armée de Libération du Soudan, branche du Darfour.
En 2008, la Cour pénale internationale de La Haye a émis un mandat d'arrêt contre el-Bechir en l'accusant de génocide, crimes contre l'humanité et crimes de guerre commis dans la région du Darfour, début 2003.
Le 25 novembre 2011, Omar el-Bechir avait reçu à Khartoum le président du CNT, Moustapha Abdel Jalil.
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