Les circonstances de l'assassinat de Matoub Lounes demeurent encore non élucidées (PH/DR)
« Après 13 années de tergiversations, de manœuvres, de rumeurs les plus abjectes et comme à chaque été depuis l’assassinat du chanteur, militant de la cause berbère et de la démocratie, voilà que le pouvoir algérien nous annonce une fois de plus la tenue d’un simulacre de procès prévu le 18 juillet. », a affirmé un communiqué transmis à Siwel.
La Fondation l’a qualifié d’un « procès à la hussarde visant à faire passer un crime politique embarrassant pour les hautes sphères du pouvoir et leurs sous-traitants locaux, pour un simple fait divers de droit commun ».
Elle a dénoncé une « volonté affichée pour aller vers un procès bâclé », tout en se disant prête à « aller jusqu’au bout », toute en exigeant la vérité sur l’assassinat de Matoub, l’identification des assassins et des commanditaires.
La Fondation Lounes Matoub se demande « qu’a-t-on fait depuis 13 années maintenant pour aller vers un procès aujourd’hui, alors que ni étude balistique, ni reconstitution des faits et ni encore l’audition des témoins n’a été organisée ».
tt
SIWEL 161412 JUIL 11
La Fondation l’a qualifié d’un « procès à la hussarde visant à faire passer un crime politique embarrassant pour les hautes sphères du pouvoir et leurs sous-traitants locaux, pour un simple fait divers de droit commun ».
Elle a dénoncé une « volonté affichée pour aller vers un procès bâclé », tout en se disant prête à « aller jusqu’au bout », toute en exigeant la vérité sur l’assassinat de Matoub, l’identification des assassins et des commanditaires.
La Fondation Lounes Matoub se demande « qu’a-t-on fait depuis 13 années maintenant pour aller vers un procès aujourd’hui, alors que ni étude balistique, ni reconstitution des faits et ni encore l’audition des témoins n’a été organisée ».
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SIWEL 161412 JUIL 11