« Le MNLA informe que le drapeau flotte partout dans la ville et que la région de Gao est désormais sous son contrôle et administration. Il informe que son Etat-major cerne la ville de Tinbouctou, pour déloger le reste de l’Administration politique et militaire malienne pour le bonheur du peuple de l’Azawad », indique un communiqué du MNLA parvenu à Siwel.
Le MNLA appelle la C.E.D.E.A.O (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest) à « plus de retenue face à son message d’ingérence militaire dans l’Azawad », et l’invite à jouer pour l’option politique afin de rétablir la paix.
D’autre part, plusieurs officiers et soldats ont annoncé leur ralliement au MNLA suite à la prise de Kidal, à leur tête le colonel major Elhadj Ag Gamou, ancien chef de commandement des troupes maliennes dans la région de Kidal, et toutes les troupes sous son commandement.
« J'en appelle à l'ensemble des Azawadis à rejoindre et renforcer le Mouvement National de Libération de l'Azawad dans sa lutte pour l'independance, car il reste aujourd'hui la seule organisation capable de faire sortir notre peuple du gouffre dans lequel l'a entretenu le Mali pendant plus de 50 ans, » a déclaré le chef de commendement de la région de Kidal.
Après Kidal, c'est la ville d’Ansongo qui a été libérée tard dans la soirée de vendredi par les combattants du MNLA. Le MNLA qui lutte pour l'indépendance du pays Azawad afin de bâtir « un Etat démocratique et laïc » contrôle désormais la quasi-totalité du nord-est malien avec les localités de Kidal, Aguelhok, Tessalit et Tinzawaten, alors que l'armée malienne est cantonnée dans la ville de Tombouctou (nord-ouest) après la libération de Gao.
La junte militaire au pouvoir depuis le coup d'Etat qui a renversé le 22 mars le président Amadou Toumani Touré (dit ATT) a appelé à l'aide extérieure.
A Tessalit, des citoyens ont dénoncé « la désinformation flagrante dont excelle le correspondant de l'agence française de presse (AFP) qui parle de combattants islamistes d'Ansar Eddine aux côtés du MNLA dans l'offensive de Kidal ».
Le Mouvement national de libération de l'Azawad, rappelle qu'il poursuivra l'offensive sur la dernière capitale régionale de l'Azawad pour « déloger l'administration malienne et son armée. »
uz/cc
SIWEL 011520 AVR 11
Le MNLA appelle la C.E.D.E.A.O (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest) à « plus de retenue face à son message d’ingérence militaire dans l’Azawad », et l’invite à jouer pour l’option politique afin de rétablir la paix.
D’autre part, plusieurs officiers et soldats ont annoncé leur ralliement au MNLA suite à la prise de Kidal, à leur tête le colonel major Elhadj Ag Gamou, ancien chef de commandement des troupes maliennes dans la région de Kidal, et toutes les troupes sous son commandement.
« J'en appelle à l'ensemble des Azawadis à rejoindre et renforcer le Mouvement National de Libération de l'Azawad dans sa lutte pour l'independance, car il reste aujourd'hui la seule organisation capable de faire sortir notre peuple du gouffre dans lequel l'a entretenu le Mali pendant plus de 50 ans, » a déclaré le chef de commendement de la région de Kidal.
Après Kidal, c'est la ville d’Ansongo qui a été libérée tard dans la soirée de vendredi par les combattants du MNLA. Le MNLA qui lutte pour l'indépendance du pays Azawad afin de bâtir « un Etat démocratique et laïc » contrôle désormais la quasi-totalité du nord-est malien avec les localités de Kidal, Aguelhok, Tessalit et Tinzawaten, alors que l'armée malienne est cantonnée dans la ville de Tombouctou (nord-ouest) après la libération de Gao.
La junte militaire au pouvoir depuis le coup d'Etat qui a renversé le 22 mars le président Amadou Toumani Touré (dit ATT) a appelé à l'aide extérieure.
A Tessalit, des citoyens ont dénoncé « la désinformation flagrante dont excelle le correspondant de l'agence française de presse (AFP) qui parle de combattants islamistes d'Ansar Eddine aux côtés du MNLA dans l'offensive de Kidal ».
Le Mouvement national de libération de l'Azawad, rappelle qu'il poursuivra l'offensive sur la dernière capitale régionale de l'Azawad pour « déloger l'administration malienne et son armée. »
uz/cc
SIWEL 011520 AVR 11