Les rebelles lybiens du coté de Nefoussa, région amazighe. Ph/Dr
Dans une correspondance adressée, cette semaine, au premier ministre britannique, David Cameron, un collectif d’organisations de Berbères de Libye ont exhorté la communauté internationale à faire valoir leur revendication identitaire dans la Libye post-Kadhafi qu’ils souhaitent « démocratique et laïque ».
Ils réclament, essentiellement, la reconnaissance de la langue amazighe comme langue officielle aux côtés de la langue arabe, la reconnaissance du territoire amazigh libyen, qui s’étend selon les signataires du document, de Zouara à Djebel Neffoussa (Adrar n Inefusen) à l’ouest, et enfin la séparation de la religion de l’Etat.
Les signataires du document dénient toute légitimité à de nouvelles chartes en Libye qui n’intègrent pas la composante amazighe dans l’identité nationale, et le respect des droits de l’homme.
Ils considèrent que les textes politiques sur lesquels se fonde l’opposition actuelle reproduisent les mêmes schémas idéologiques arabo-islamiques.
ma
SIWEL 291505 AVR 11
Ils réclament, essentiellement, la reconnaissance de la langue amazighe comme langue officielle aux côtés de la langue arabe, la reconnaissance du territoire amazigh libyen, qui s’étend selon les signataires du document, de Zouara à Djebel Neffoussa (Adrar n Inefusen) à l’ouest, et enfin la séparation de la religion de l’Etat.
Les signataires du document dénient toute légitimité à de nouvelles chartes en Libye qui n’intègrent pas la composante amazighe dans l’identité nationale, et le respect des droits de l’homme.
Ils considèrent que les textes politiques sur lesquels se fonde l’opposition actuelle reproduisent les mêmes schémas idéologiques arabo-islamiques.
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SIWEL 291505 AVR 11