Luiz Inácio Lula da Silva, ex-président du Brésil. Figure emblématique de la réussite brésilienne. (PHOTO : AFP)
Dans son dernier classement, le Center for Economics and Business Research a placé le Royaume-Uni à la 7e place des économies mondiales, derrière les États-Unis (1er), la Chine (2e), le Japon (3e), l'Allemagne (4e), la France (5e) et le Brésil (6e).
Dans une interview à la BBC radio, Douglas McWilliams, directeur de ce cabinet, a souligné que ce classement montrait le poids croissant de l'Asie dans l'économie mondiale, au détriment des pays occidentaux.
« On voit aussi que des pays qui produisent des biens de première nécessité, comme les aliments et l'énergie, s'en sortent très bien et montent progressivement dans le classement économique mondial », a-t-il ajouté.
Le CEBR prévoit en outre qu'en 2016, la France sera dépassée par le Royaume-Uni et qu'elle ne sera plus qu'à la 9e place des économies mondiales en 2020.
Toujours selon l'institut de recherche, la Russie et l'Inde devraient se hisser respectivement aux 4e et 5e rangs des puissances économiques mondiales en 2020.
Le Brésil, avec quelques 200 millions d'habitants, a connu une croissance de 7,5% en 2010 mais le gouvernement a revu ses prévisions de croissance à 3,5% pour cette année après un fort ralentissement de l'activité au troisième trimestre.
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Dans une interview à la BBC radio, Douglas McWilliams, directeur de ce cabinet, a souligné que ce classement montrait le poids croissant de l'Asie dans l'économie mondiale, au détriment des pays occidentaux.
« On voit aussi que des pays qui produisent des biens de première nécessité, comme les aliments et l'énergie, s'en sortent très bien et montent progressivement dans le classement économique mondial », a-t-il ajouté.
Le CEBR prévoit en outre qu'en 2016, la France sera dépassée par le Royaume-Uni et qu'elle ne sera plus qu'à la 9e place des économies mondiales en 2020.
Toujours selon l'institut de recherche, la Russie et l'Inde devraient se hisser respectivement aux 4e et 5e rangs des puissances économiques mondiales en 2020.
Le Brésil, avec quelques 200 millions d'habitants, a connu une croissance de 7,5% en 2010 mais le gouvernement a revu ses prévisions de croissance à 3,5% pour cette année après un fort ralentissement de l'activité au troisième trimestre.
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