La déclaration de politique générale présentée auparavant, devant les sénateurs dans laquelle Monti avait annoncé une série de réformes à même de rétablir la confiance des marchés, par la reprise de la croissance et la réduction du fardeau de la dette, a été rejetée par les 14 sénateurs de la Ligue du nord, seul parti à s'opposer au nouveau gouvernement technique italien.
L'ensemble de la classe politique italienne représentée au sénat a soutenu les mesures énoncées par le Premier ministre et même la parti majoritaire de son prédécesseur, le Parti de la liberté (PdL), a, par la voix de son chef Silvio Berlusconi, affirmé apporter "un soutien critique" à ce programme jugé "ambitieux".
Le principal syndicat, la Confédération générale des travailleurs italiens (CGIL) a également apporté son soutien à ce programme, notamment à l'ouverture du marché du travail aux jeunes et aux femmes.
Monti s'était engagé à réhabiliter la rigueur, l'austérité et l'équité notamment en réduisant le train de vie de l’État, l'amélioration des services publics, l'équité entre les citoyens, les travailleurs et les régions, le partage des sacrifices nécessaires au redressement de l'économie.
Il s'était engagé également, à lutter contre l'économie souterraine, qui représente, selon lui, 20 % du produit intérieur brut (PIB), et contre l'évasion fiscale qui réduit les recettes de l’État, assurant d'ouvrir le marché du travail aux jeunes et aux femmes dans son pays, qui sont, à ses yeux, "une ressource qu'on gaspille".
uz
SIWEL 181426 NOV 11
L'ensemble de la classe politique italienne représentée au sénat a soutenu les mesures énoncées par le Premier ministre et même la parti majoritaire de son prédécesseur, le Parti de la liberté (PdL), a, par la voix de son chef Silvio Berlusconi, affirmé apporter "un soutien critique" à ce programme jugé "ambitieux".
Le principal syndicat, la Confédération générale des travailleurs italiens (CGIL) a également apporté son soutien à ce programme, notamment à l'ouverture du marché du travail aux jeunes et aux femmes.
Monti s'était engagé à réhabiliter la rigueur, l'austérité et l'équité notamment en réduisant le train de vie de l’État, l'amélioration des services publics, l'équité entre les citoyens, les travailleurs et les régions, le partage des sacrifices nécessaires au redressement de l'économie.
Il s'était engagé également, à lutter contre l'économie souterraine, qui représente, selon lui, 20 % du produit intérieur brut (PIB), et contre l'évasion fiscale qui réduit les recettes de l’État, assurant d'ouvrir le marché du travail aux jeunes et aux femmes dans son pays, qui sont, à ses yeux, "une ressource qu'on gaspille".
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