« La paix dans cette région essentielle de l'Afrique passe par une partition, forcément douloureuse mais il n'est pas d'autres solutions y compris pour nous, Français, engagés militairement sur zone », déclare le député UMP Alain Marsaud (PH/DR)
L’exécution des deux journalistes de RFI samedi dernier à Kidal par des terroristes et l’ignoble cabale montée par une partie de la presse française, et bon nombres de prétendus spécialistes, contre le MNLA pour faire d’eux les boucs émissaires de l’incurie politique du gouvernement Hollande dans l’Azawad et au Mali aura eu, au final, les effets inverses.
En effet, le scénario grotesque qui voulait imputer l’odieux assassinat des deux journalistes français au MNLA a fini par délier quelques langues dont celle du député UMP, Alain Marsaud , qui a eu le courage de reconnaitre « l’erreur » de la France dans la question de l’Azawad. Alain Marsaud a effectivement reconnu le parti pris flagrant de la France contre les touaregs en déclarant notamment ceci : « Il n'existe pas un Mali, mais au minimum deux. Nous avons, avec Serval, protégé le premier, celui du sud, au détriment du second, celui du nord. Nous sommes tous solidaires de cette erreur mais il convient d'en prendre conscience et de la réparer ».
Loin de la politique de l’autruche qui caractérise le gouvernement socialiste de Hollande qui ne démord pas de « l’unité territoriale » d’un pays artificiellement crée au détriment d’un peuple martyrisé depuis plus de 50 ans, le député UMP, ancien juge antiterroriste poursuit et va encore plus loin dans sa déclaration en affirmant que « La paix dans cette région essentielle de l'Afrique passe par une partition, forcément douloureuse mais il n'est pas d'autres solutions y compris pour nous, Français, engagés militairement sur zone »
Affirmant que « les groupes et ethnies du nord, d'origines arabe, berbère et autres, contrôlés par les Touareg, n'ont aucune envie de vivre un destin commun avec le sud de Bamako, et les menées séparatistes, indépendantistes et autres ne pourront être contenues qu'artificiellement », avertit Alain Marsaud.
zp,
SIWEL 052313 NOV 13
En effet, le scénario grotesque qui voulait imputer l’odieux assassinat des deux journalistes français au MNLA a fini par délier quelques langues dont celle du député UMP, Alain Marsaud , qui a eu le courage de reconnaitre « l’erreur » de la France dans la question de l’Azawad. Alain Marsaud a effectivement reconnu le parti pris flagrant de la France contre les touaregs en déclarant notamment ceci : « Il n'existe pas un Mali, mais au minimum deux. Nous avons, avec Serval, protégé le premier, celui du sud, au détriment du second, celui du nord. Nous sommes tous solidaires de cette erreur mais il convient d'en prendre conscience et de la réparer ».
Loin de la politique de l’autruche qui caractérise le gouvernement socialiste de Hollande qui ne démord pas de « l’unité territoriale » d’un pays artificiellement crée au détriment d’un peuple martyrisé depuis plus de 50 ans, le député UMP, ancien juge antiterroriste poursuit et va encore plus loin dans sa déclaration en affirmant que « La paix dans cette région essentielle de l'Afrique passe par une partition, forcément douloureuse mais il n'est pas d'autres solutions y compris pour nous, Français, engagés militairement sur zone »
Affirmant que « les groupes et ethnies du nord, d'origines arabe, berbère et autres, contrôlés par les Touareg, n'ont aucune envie de vivre un destin commun avec le sud de Bamako, et les menées séparatistes, indépendantistes et autres ne pourront être contenues qu'artificiellement », avertit Alain Marsaud.
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