Ferhat Mehenni, président du GPK (Photo Y. O — SIWEL)
Le communiqué signé par son président Ferhat Mehenni a souligné que les bouleversements que connaissent les pays d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient sont la résultante des attentats du 11 septembre.
« La riposte fut d’abord chaotique. Mais bientôt, tirant les enseignements de l’ère Bush et de ses premiers tâtonnements, les Etats-Unis, en collaboration avec le Royaume-Uni et la France trouvèrent la parade : faire tomber par leurs propres peuples des régimes dictatoriaux où les foyers de culture terroriste étaient entretenus, plus ou moins avérés. La Tunisie n’en était qu’un banc d’essai. Le refus jusqu’au bout d’une intervention au sol en Libye montre combien les cas afghan et irakien avaient servi de leçon. Dès le départ, les USA dont le crédo est la liberté savaient que la meilleure parade à la menace islamiste internationale était la démocratie. Les cas afghan et irakien ont juste montré que celle-ci n’allait pas avec une invasion militaire. C’est, du moins, l’une des exigences actuelles de l’histoire de l’humanité », a indiqué le GPK.
Il a souligné que les conséquences des attentats du 11 septembre 2001 sont celles d’un redémarrage du processus de la mondialisation de la démocratie.
Le GPK a rappelé que « si l’indignation provoquée par ces attentats fut planétaire, dans les pays se réclamant de l’arabisme ou de l’islamisme, des fois des deux, les admirateurs de Ben Laden ne cachèrent pas leur joie ».
« En Algérie par exemple, à l’exception de la Kabylie où des manifestations de soutien à l’Amérique étaient organisées, la sympathie d’un pays nourri à la haine d’Israël et de l’Occident était acquise pour les auteurs de ces actes terroristes. »
uz
SIWEL 100350 SEPT 11
« La riposte fut d’abord chaotique. Mais bientôt, tirant les enseignements de l’ère Bush et de ses premiers tâtonnements, les Etats-Unis, en collaboration avec le Royaume-Uni et la France trouvèrent la parade : faire tomber par leurs propres peuples des régimes dictatoriaux où les foyers de culture terroriste étaient entretenus, plus ou moins avérés. La Tunisie n’en était qu’un banc d’essai. Le refus jusqu’au bout d’une intervention au sol en Libye montre combien les cas afghan et irakien avaient servi de leçon. Dès le départ, les USA dont le crédo est la liberté savaient que la meilleure parade à la menace islamiste internationale était la démocratie. Les cas afghan et irakien ont juste montré que celle-ci n’allait pas avec une invasion militaire. C’est, du moins, l’une des exigences actuelles de l’histoire de l’humanité », a indiqué le GPK.
Il a souligné que les conséquences des attentats du 11 septembre 2001 sont celles d’un redémarrage du processus de la mondialisation de la démocratie.
Le GPK a rappelé que « si l’indignation provoquée par ces attentats fut planétaire, dans les pays se réclamant de l’arabisme ou de l’islamisme, des fois des deux, les admirateurs de Ben Laden ne cachèrent pas leur joie ».
« En Algérie par exemple, à l’exception de la Kabylie où des manifestations de soutien à l’Amérique étaient organisées, la sympathie d’un pays nourri à la haine d’Israël et de l’Occident était acquise pour les auteurs de ces actes terroristes. »
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