Assemblée algérienne APN
Le RCD justifie sa décision par l’acharnement politico-médiatique dont font l’objet ses militants, en mettant en exergue « le lynchage raciste » et l’agression dont a été victime le chef du parti Saïd Sadi, le 5 mars dernier, lors de la marche à laquelle avait appelé la CNCD à El Madania, sur les hauteurs d’Alger. « Cette tentative d’assassinat (ce n’est pas la première qui visait Saïd Sadi), explique le signataire du communiqué, pose une nouvelle donne politique dans le pays. »
S’attaquant à l’APN, le groupe parlementaire du RCD qui compte 19 députés, a estimé qu’elle « continue à assumer son indignité en avalant les ordonnances les unes après les autres. »
Le groupe du RCD juge que « la servilité traditionnelle de l’Assemblée est désormais doublée d’une complicité active puisque c’est l’institution parlementaire elle-même qui demande à ne pas débattre des drames et périls qui pèsent sur l’Algérie. »
Enfin, faisant le parallèle avec le vent de révolte qui secoue actuellement l'Afrique du Nord, le communiqué a relevé qu'« en 2011, les revendications sociales et politiques s’expriment dans tout le pays et le contexte régional et international a connu des bouleversements que seul le DRS refuse de voir. »
ma/wbw
SIWEL 091300 MAR 11
S’attaquant à l’APN, le groupe parlementaire du RCD qui compte 19 députés, a estimé qu’elle « continue à assumer son indignité en avalant les ordonnances les unes après les autres. »
Le groupe du RCD juge que « la servilité traditionnelle de l’Assemblée est désormais doublée d’une complicité active puisque c’est l’institution parlementaire elle-même qui demande à ne pas débattre des drames et périls qui pèsent sur l’Algérie. »
Enfin, faisant le parallèle avec le vent de révolte qui secoue actuellement l'Afrique du Nord, le communiqué a relevé qu'« en 2011, les revendications sociales et politiques s’expriment dans tout le pays et le contexte régional et international a connu des bouleversements que seul le DRS refuse de voir. »
ma/wbw
SIWEL 091300 MAR 11