Le Président Hadi à l'issue de la conférence de dialogue national (PH/Reuters)
L'approbation finale a été donnée par un comité présidé par le président Abd-Rabbu Mansour Hadi après deux semaines de négociations avec les délégués de tout le pays.
Hadi est également chargé de rédiger une nouvelle constitution qui sera à la base des élections prévues pour l'année prochaine.
La structure fédérale devrait être inscrite dans la nouvelle constitution qui doit être soumis à un référendum.
Dans le nouveau système, le sud est divisée en deux régions, Aden et Hadramaout. La partie nord du pays a été, elle, divisée en quatre régions, Saba, Janad, Azal et Tahama.
La capitale, Sanaa, serait une "ville fédérale" qui ne serasoumise à aucune autorité régionale et la constitution garantira sa "neutralité", a indiqué l'agence Saba. qui a ajouté que la ville portuaire d'Aden aurait également un statut spécial et sera dotée de "pouvoirs législatifs et exécutifs indépendants".
Le Yémen, qui est dans la tourmente depuis les protestations de masse de 2011 ayant finalement forcé l'ancien président Ali Abullah Saleh à quitter le pouvoir, est aux prises avec une rébellion chiite au nord, le militantisme islamiste au sud et des bouleversements économiques.
wbw
SIWEL 121108 FEV 14
Hadi est également chargé de rédiger une nouvelle constitution qui sera à la base des élections prévues pour l'année prochaine.
La structure fédérale devrait être inscrite dans la nouvelle constitution qui doit être soumis à un référendum.
Dans le nouveau système, le sud est divisée en deux régions, Aden et Hadramaout. La partie nord du pays a été, elle, divisée en quatre régions, Saba, Janad, Azal et Tahama.
La capitale, Sanaa, serait une "ville fédérale" qui ne serasoumise à aucune autorité régionale et la constitution garantira sa "neutralité", a indiqué l'agence Saba. qui a ajouté que la ville portuaire d'Aden aurait également un statut spécial et sera dotée de "pouvoirs législatifs et exécutifs indépendants".
Le Yémen, qui est dans la tourmente depuis les protestations de masse de 2011 ayant finalement forcé l'ancien président Ali Abullah Saleh à quitter le pouvoir, est aux prises avec une rébellion chiite au nord, le militantisme islamiste au sud et des bouleversements économiques.
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