En effet il sort son premier album en mars 2010 et ce, grâce aux encouragements de sa famille mais aussi à ses exploits personnels dans des concours de chant locaux pour réaliser son rêve d’enfance. Il revient avec un album « muri », des sonorités et des textes bien construits.
Dans cette nouvelle production l’artiste nous propose une œuvre exaltante. L’album nous fait voyager à travers un spicilège de thèmes, tel que l’amour, le mal vivre de la jeunesse, taqvaylit, l’humanité et bien d’autres. Parmi les neuf (09) titres qui composent l’album on retrouve une adaptation de l’opus d’Edith Piaf « A quoi sert l’amour ». « Je voulais la transcrire, l’adapter, l’approprier à la culture Kabyle.» nous répond-il sur le choix de ce texte.
On retrouve des textes d’amour et de son chagrin, de guerre et de paix, de fraternité et de traitrise, le verbe est fort la musique est douce. Yanis exprime tout simplement les préoccupations d’un jeune kabyle qui s’inscrit dans l’universalité. L’auteur dénonce sans ambages l’école algérienne qu’il tient pour responsable des problèmes et obstacles qu’endure la jeunesse. La chanson intitulée « Ilemzi » raconte le mal-vivre de la jeunesse désemparée.
Dans le même sillage, la chanson « Taqvaylit » est une suite logique de la chanson « lezzayer nnegh » éditée en 2010 et dans laquelle il a pris position, sans confusion pour une Kabylie libre. Le texte est une objection à l’acharnement du pouvoir algérien qu’il exerce sur la Kabylie mais aussi un encouragement à la détermination du peuple kabyle. « Un monde fermé, verrouillé par l’Etat, la scène n’existe plus sans passer par les canaux officiels » lâche-il, non sans rage, en parlant de la tache la plus ardue des artistes, en l’occurrence, la promotion de leurs œuvres.
La chanson a été le porte-voix du peuple, elle a des rôles des plus importants durant toutes les luttes de la Kabylie. Yanis qui porte sa Kabylie haut et fort est un talent à encourager.
Ikhtus
SIWEL 281703 JAN 16
Dans cette nouvelle production l’artiste nous propose une œuvre exaltante. L’album nous fait voyager à travers un spicilège de thèmes, tel que l’amour, le mal vivre de la jeunesse, taqvaylit, l’humanité et bien d’autres. Parmi les neuf (09) titres qui composent l’album on retrouve une adaptation de l’opus d’Edith Piaf « A quoi sert l’amour ». « Je voulais la transcrire, l’adapter, l’approprier à la culture Kabyle.» nous répond-il sur le choix de ce texte.
On retrouve des textes d’amour et de son chagrin, de guerre et de paix, de fraternité et de traitrise, le verbe est fort la musique est douce. Yanis exprime tout simplement les préoccupations d’un jeune kabyle qui s’inscrit dans l’universalité. L’auteur dénonce sans ambages l’école algérienne qu’il tient pour responsable des problèmes et obstacles qu’endure la jeunesse. La chanson intitulée « Ilemzi » raconte le mal-vivre de la jeunesse désemparée.
Dans le même sillage, la chanson « Taqvaylit » est une suite logique de la chanson « lezzayer nnegh » éditée en 2010 et dans laquelle il a pris position, sans confusion pour une Kabylie libre. Le texte est une objection à l’acharnement du pouvoir algérien qu’il exerce sur la Kabylie mais aussi un encouragement à la détermination du peuple kabyle. « Un monde fermé, verrouillé par l’Etat, la scène n’existe plus sans passer par les canaux officiels » lâche-il, non sans rage, en parlant de la tache la plus ardue des artistes, en l’occurrence, la promotion de leurs œuvres.
La chanson a été le porte-voix du peuple, elle a des rôles des plus importants durant toutes les luttes de la Kabylie. Yanis qui porte sa Kabylie haut et fort est un talent à encourager.
Ikhtus
SIWEL 281703 JAN 16