De peur de subir le même sort qu'il a eu lors de l'enterrement de Hocine Ait Ahmed à Ait Yahia, le premier ministre algérien s'est rendu à Tizi Ouzou sous une haute surveillance. Ainsi, la région de Tizi Ozou est assiégée par la gendarmerie et la police algériennes.
De Tadmait à At Yani, le dispositif répressif déployé est impressionnant. Un gendarme tous les 100 m. Tous les carrefours remplis de voitures et de fourgons de la gendarmerie. Le pont de Taxuxt compte à lui seul 50 voitures de ce corps militaire.
C'est le même cas pour la RN 12, de Tizi Ouzou jusqu à Boubhir, des gendarmes en tenue d'apparat et d'autres armés se tiennent aux abords de la route. Au carrefour allant à Tamda, il y a plus de 30 véhicules de gendarmerie et une quarantaine de motards.
La visite du représentant de l'Etat colonial algérien, Abdelmalek Sellal, a mis la région de Tizi Ouzou sous un état de siège.Un gendarme chaque 100 mètres et un véhicule tout les 300 mètres. Des hélicoptères survolent le ciel kabyle.
Selon des sources bien informées, Sellal a peur d'être accueilli avec des drapeaux kabyles d'où cette état d'occupation. Certains maires appartenant à des partis dits d'opposition ont envoyé des invitations aux citoyens notamment aux femmes afin de venir accueillir le kabyle de service , Sellal, qui n est pas le bien venu en Kabylie.
Cette visite par laquelle, le régime colonial algérien veut redorer le blason d'un de ses serviteurs, dénote le mépris qu'il éprouve à l'égard des martyrs du printemps noir en déployant sa gendarmerie qui a assassiné 128 jeunes kabyles en 2001.
En choisissant le premier jour des examens du Baccalauréat, le premier ministre algérien veut s'assurer qu'il n'y ait pas de mobilisant citoyenne contre son action de propagande. Sachant d'avance qu'il sera boudé, des policiers en civile sont dépêchés en surnombre à Tizi Ouzou, At Yani et d'autres localités pour se substituer aux populations locales afin de sauver les apparences. Il est clair que cet état de siège imposé à cette partie de la Kabylie confirme le rejet du peuple kabyle de tout ce qui symbolise et représente l'Etat colonial algérien.
En voulant supplanter le MAK avec des visites propagandistes, de fausses promesses et des campagnes de diffamation,le régime colonial algérien crédibilise davantage la démarche souverainiste kabyle.
La Kabylie n'aspire à rien d'autre que de recouvrer sa liberté et sa souveraineté. Le processus de sa libération est irréversible.
De Tadmait à At Yani, le dispositif répressif déployé est impressionnant. Un gendarme tous les 100 m. Tous les carrefours remplis de voitures et de fourgons de la gendarmerie. Le pont de Taxuxt compte à lui seul 50 voitures de ce corps militaire.
C'est le même cas pour la RN 12, de Tizi Ouzou jusqu à Boubhir, des gendarmes en tenue d'apparat et d'autres armés se tiennent aux abords de la route. Au carrefour allant à Tamda, il y a plus de 30 véhicules de gendarmerie et une quarantaine de motards.
La visite du représentant de l'Etat colonial algérien, Abdelmalek Sellal, a mis la région de Tizi Ouzou sous un état de siège.Un gendarme chaque 100 mètres et un véhicule tout les 300 mètres. Des hélicoptères survolent le ciel kabyle.
Selon des sources bien informées, Sellal a peur d'être accueilli avec des drapeaux kabyles d'où cette état d'occupation. Certains maires appartenant à des partis dits d'opposition ont envoyé des invitations aux citoyens notamment aux femmes afin de venir accueillir le kabyle de service , Sellal, qui n est pas le bien venu en Kabylie.
Cette visite par laquelle, le régime colonial algérien veut redorer le blason d'un de ses serviteurs, dénote le mépris qu'il éprouve à l'égard des martyrs du printemps noir en déployant sa gendarmerie qui a assassiné 128 jeunes kabyles en 2001.
En choisissant le premier jour des examens du Baccalauréat, le premier ministre algérien veut s'assurer qu'il n'y ait pas de mobilisant citoyenne contre son action de propagande. Sachant d'avance qu'il sera boudé, des policiers en civile sont dépêchés en surnombre à Tizi Ouzou, At Yani et d'autres localités pour se substituer aux populations locales afin de sauver les apparences. Il est clair que cet état de siège imposé à cette partie de la Kabylie confirme le rejet du peuple kabyle de tout ce qui symbolise et représente l'Etat colonial algérien.
En voulant supplanter le MAK avec des visites propagandistes, de fausses promesses et des campagnes de diffamation,le régime colonial algérien crédibilise davantage la démarche souverainiste kabyle.
La Kabylie n'aspire à rien d'autre que de recouvrer sa liberté et sa souveraineté. Le processus de sa libération est irréversible.