C’est à l’occasion du 15ème anniversaire du MAK que ces responsables ont fait le déplacement à At-Yenni ; opportunité saisie aussi pour la réappropriation des mythes fondateurs de la Nation kabyle.
Le recueillement sur le lieu de l’assassinat de ces berbéristes des années d’avant-guerre d’Algérie été traduit par un dépôt de gerbe de fleures sur la stèle érigée à leur mémoire, mais hélas vandalisée par les énergumènes de l’histoire, et ce avec la complicité des serviteurs de la France néocoloniale.
Le Président du MAK n’a pas été avec le dos de la cuiller dans ses propos vis-à-vis de ces scélérats. Une expliqué et identifié la catégorie dans laquelle sont classés ces auteurs de l’acte immoral, Bouaziz Aït-Chebib mit l’accent sur le rôle de ces artisans concernant l’identité authentique et l’avenir du de l’Afrique du Nord. « Les berbéristes avaient des idéaux de la liberté et de la dignité humaine dans le cadre de la réappropriation de l’Histoire de l’Afrique du Nord dans son cadre naturel du respect de ses peuples, a souligné le Président du MAK devant l’assistance nombreuse et attentionnée. " Ils avaient lutté à la fois contre le colonialisme français et l'islamo-baâthisme de Messali et des "oulémas". Ils ont été assassinés pour avoir défendu leur identité et œuvré pour l'unité de la Kabylie. Le MAK est le digne héritier le continuateur legitime du combat de ces pionniers du kabylisme et ce en luttant pour une Kabylie libre et unie." a déclaré le président du MAK avant de livrer aux présents un bref aperçu sur les réalisations du mouvement souverainiste kabyle depuis sa création. " Le MAK qui a réussi à réconcilier la Kabylie avec elle-même a mis la Kabylie sur les rails de sa propre libération, voilà ce que le MAK a apporté de concret pour la Kabylie, et en ce sens le MAK a déjà gagné, il a accompli sa principale et plus importante mission". Il a conclu son intervention avec une note d'espoir et de détermination : "Désormais. Le peuple kabyle est sur la voie de son émancipation.Rien ni personne ne l'arrêtera".
Ben Abdeslam Abdelkader et Smail Ben Oumelghar, respectivement président et chargé de l'organique du conseil régional Boumerdes- Tizi Ouzou, ont rappelé la nécessité de faire connaître aux kabyles la vraie histoire pour les protéger contre toute forme d'escroquerie politique et de substitution identitaire.
Prenant la parole à son tour, Hachim Mohand Ouamar a abondé dans le même sens que Bouaziz Aït-Chebib. Il a rappelé la délicate position des berbéristes face à celle des assimilationnistes messalistes.
Hocine Azem a quant à lui rappelé que le MAK a pu réaliser en 15 années de combat sur le terrain son gouvernement, son drapeau, son hymne et une carte d’identité pour son peuple. « Dans peu de temps, poursuit l’orateur, notre nation aura également son parlement. »
Hocine Azem a indiqué également que ceux qui ont participé à l’assassinat de ces mythes fondateurs de la nation kabyle étaient victimes d’une aliénation. Hocine Azem la définit ainsi : « C’est un transfert à autrui de la propriété d’une chose que l’on a dans son patrimoine concernant un peuple qui perd son indépendance, un effacement programmé de sa culture, de sa langue, et de sa pensée, dépossession de son héritage et de sa culture existentielle par une puissance étrangère ou le fait d’être étranger sur son propre territoire. Et surtout négation de soi et déni de soi même face à ses compatriotes pour complaire aux Autres c’est-à-dire une atteinte aux droits sociaux, linguistiques, politique sociaux, civils et historiques en tant que communauté de des kabyles. »
Le recueillement sur le lieu de l’assassinat de ces berbéristes des années d’avant-guerre d’Algérie été traduit par un dépôt de gerbe de fleures sur la stèle érigée à leur mémoire, mais hélas vandalisée par les énergumènes de l’histoire, et ce avec la complicité des serviteurs de la France néocoloniale.
Le Président du MAK n’a pas été avec le dos de la cuiller dans ses propos vis-à-vis de ces scélérats. Une expliqué et identifié la catégorie dans laquelle sont classés ces auteurs de l’acte immoral, Bouaziz Aït-Chebib mit l’accent sur le rôle de ces artisans concernant l’identité authentique et l’avenir du de l’Afrique du Nord. « Les berbéristes avaient des idéaux de la liberté et de la dignité humaine dans le cadre de la réappropriation de l’Histoire de l’Afrique du Nord dans son cadre naturel du respect de ses peuples, a souligné le Président du MAK devant l’assistance nombreuse et attentionnée. " Ils avaient lutté à la fois contre le colonialisme français et l'islamo-baâthisme de Messali et des "oulémas". Ils ont été assassinés pour avoir défendu leur identité et œuvré pour l'unité de la Kabylie. Le MAK est le digne héritier le continuateur legitime du combat de ces pionniers du kabylisme et ce en luttant pour une Kabylie libre et unie." a déclaré le président du MAK avant de livrer aux présents un bref aperçu sur les réalisations du mouvement souverainiste kabyle depuis sa création. " Le MAK qui a réussi à réconcilier la Kabylie avec elle-même a mis la Kabylie sur les rails de sa propre libération, voilà ce que le MAK a apporté de concret pour la Kabylie, et en ce sens le MAK a déjà gagné, il a accompli sa principale et plus importante mission". Il a conclu son intervention avec une note d'espoir et de détermination : "Désormais. Le peuple kabyle est sur la voie de son émancipation.Rien ni personne ne l'arrêtera".
Ben Abdeslam Abdelkader et Smail Ben Oumelghar, respectivement président et chargé de l'organique du conseil régional Boumerdes- Tizi Ouzou, ont rappelé la nécessité de faire connaître aux kabyles la vraie histoire pour les protéger contre toute forme d'escroquerie politique et de substitution identitaire.
Prenant la parole à son tour, Hachim Mohand Ouamar a abondé dans le même sens que Bouaziz Aït-Chebib. Il a rappelé la délicate position des berbéristes face à celle des assimilationnistes messalistes.
Hocine Azem a quant à lui rappelé que le MAK a pu réaliser en 15 années de combat sur le terrain son gouvernement, son drapeau, son hymne et une carte d’identité pour son peuple. « Dans peu de temps, poursuit l’orateur, notre nation aura également son parlement. »
Hocine Azem a indiqué également que ceux qui ont participé à l’assassinat de ces mythes fondateurs de la nation kabyle étaient victimes d’une aliénation. Hocine Azem la définit ainsi : « C’est un transfert à autrui de la propriété d’une chose que l’on a dans son patrimoine concernant un peuple qui perd son indépendance, un effacement programmé de sa culture, de sa langue, et de sa pensée, dépossession de son héritage et de sa culture existentielle par une puissance étrangère ou le fait d’être étranger sur son propre territoire. Et surtout négation de soi et déni de soi même face à ses compatriotes pour complaire aux Autres c’est-à-dire une atteinte aux droits sociaux, linguistiques, politique sociaux, civils et historiques en tant que communauté de des kabyles. »