Ces chômeurs disent qu’ils veulent juste un travail « pour se sentir Algériens », en rejetant les mécanismes mis en place par gouvernement à travers les formules Ansej et emploi de jeunes. « Nous les chômeurs, nous ne voulons pas être ni des immolés, ni des harragas.
Un chômeur peut bien succomber aux sirènes du vol, de la drogue, voire se donner la mort. C’est en fonction de ces craintes que nous interpellons les responsables locaux à prendre en charge nos doléances », a expliqué à Siwel un des manifestants.
Faute de postes d’emploi à pourvoir dans la wilaya de Vgayet, enchaîne-t-il, les chômeurs demandent « une prise en charge sociale », c’est-à-dire, un salaire minimum et une assurance sociale.
sd
SIWEL 11 1337 AVR 11
Un chômeur peut bien succomber aux sirènes du vol, de la drogue, voire se donner la mort. C’est en fonction de ces craintes que nous interpellons les responsables locaux à prendre en charge nos doléances », a expliqué à Siwel un des manifestants.
Faute de postes d’emploi à pourvoir dans la wilaya de Vgayet, enchaîne-t-il, les chômeurs demandent « une prise en charge sociale », c’est-à-dire, un salaire minimum et une assurance sociale.
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SIWEL 11 1337 AVR 11
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