Le Qatar, le premier soutien des révolutions dites arabes. PH/DR
Branle-bas de combat, ce matin, dans les hautes sphères du pouvoir algérien. Tous les ministres ont été réquisitionnés pour accueillir l’Emir qatari qui a foulé le sol algérien, depuis ce matin.
Au cours de cette visite, tentent de justifier les tenants du régime algérien, « les deux parties procèderont à l'évaluation de la coopération bilatérale et examineront les moyens de l'approfondir et de la diversifier dans plusieurs domaines ». Des accords de partenariat relatifs à des projets de développement seront également signés entre les deux pays.
A préciser que les relations bilatérales entre les deux pays, se sont intensifiées depuis quelques mois, surtout depuis le début du Printemps dit arabe, que le Qatar soutien militairement et politiquement. Le Qatar est le premier fournisseurs d'armes aux groupes terroristes activant dans le monde et affiliés à El Qaïda.
« Cette visite sera aussi l'occasion d'approfondir la concertation et l'échange de points de vue sur les questions arabes, régionales et internationales d'intérêt commun », annonce le pouvoir via son agence de presse, qui ne précise pas, par ailleurs, que l’Emir du Qatar est venu justement dicter à l’Algérie la position à prendre par rapport à des conflits régionaux, tel le conflit en Syrie, au Mali...
Cette visite qui s’apparente à une visite chantage et pression fera, sans nuls doutes, changer les positions algériennes vis-à-vis certains conflits notamment le Mali, où elle s’est distinguée par son refus d’une intervention militaire. Le Qatar, cet monarchie voyou qui finance les groupes terroristes saura mettre la pression sur le pouvoir algérien qui n’est à la recherche que de soutien internationaux, en contre partie le bradage de l’économie, pour assurer sa survie.
A rappeler que lors d’une session des pays membres de la Ligue arabe, l’ambassadeur du Qatar avait tout simplement interdit au ministre algérien des Affaires étrangères de prendre la parole. Le Qatar, voulait traîner l’Algérie derrière son giron, concernant, notamment, la crise libyenne, égyptienne et syrienne.
Il faut aussi rappeler que l’Algérie et le Qatar ont créé un consortium le mois de novembre écoulé. Cette entreprise mixte réalisera un complexe sidérurgique à Bellara dans la wilaya de Jijel avec une capacité de production estimée à 5 millions de tonnes. Ce même projet avait été proposé par le magnat kabyle, Isaad Rebrab, qui comptait créer cette entreprise avec des fonds algériens. Plusieurs autres projets proposés par le patron de Cevital ont été cédés aux Qataris depuis moisn de six mois.
Depuis, le Qatar s’est vu octroyer plusieurs autres projets industriels et financiers, notamment dans les secteurs de l'énergie, des mines, du transport aérien, de l'agriculture, des finances et de l'industrie. L’Algérie a signé, en 2008, un accord relatif à la suppression de la double imposition et l'évasion fiscale en matière d'impôts sur le revenu signé a Doha.
aai
SIWEL 071314 JAN 13
Au cours de cette visite, tentent de justifier les tenants du régime algérien, « les deux parties procèderont à l'évaluation de la coopération bilatérale et examineront les moyens de l'approfondir et de la diversifier dans plusieurs domaines ». Des accords de partenariat relatifs à des projets de développement seront également signés entre les deux pays.
A préciser que les relations bilatérales entre les deux pays, se sont intensifiées depuis quelques mois, surtout depuis le début du Printemps dit arabe, que le Qatar soutien militairement et politiquement. Le Qatar est le premier fournisseurs d'armes aux groupes terroristes activant dans le monde et affiliés à El Qaïda.
« Cette visite sera aussi l'occasion d'approfondir la concertation et l'échange de points de vue sur les questions arabes, régionales et internationales d'intérêt commun », annonce le pouvoir via son agence de presse, qui ne précise pas, par ailleurs, que l’Emir du Qatar est venu justement dicter à l’Algérie la position à prendre par rapport à des conflits régionaux, tel le conflit en Syrie, au Mali...
Cette visite qui s’apparente à une visite chantage et pression fera, sans nuls doutes, changer les positions algériennes vis-à-vis certains conflits notamment le Mali, où elle s’est distinguée par son refus d’une intervention militaire. Le Qatar, cet monarchie voyou qui finance les groupes terroristes saura mettre la pression sur le pouvoir algérien qui n’est à la recherche que de soutien internationaux, en contre partie le bradage de l’économie, pour assurer sa survie.
A rappeler que lors d’une session des pays membres de la Ligue arabe, l’ambassadeur du Qatar avait tout simplement interdit au ministre algérien des Affaires étrangères de prendre la parole. Le Qatar, voulait traîner l’Algérie derrière son giron, concernant, notamment, la crise libyenne, égyptienne et syrienne.
Il faut aussi rappeler que l’Algérie et le Qatar ont créé un consortium le mois de novembre écoulé. Cette entreprise mixte réalisera un complexe sidérurgique à Bellara dans la wilaya de Jijel avec une capacité de production estimée à 5 millions de tonnes. Ce même projet avait été proposé par le magnat kabyle, Isaad Rebrab, qui comptait créer cette entreprise avec des fonds algériens. Plusieurs autres projets proposés par le patron de Cevital ont été cédés aux Qataris depuis moisn de six mois.
Depuis, le Qatar s’est vu octroyer plusieurs autres projets industriels et financiers, notamment dans les secteurs de l'énergie, des mines, du transport aérien, de l'agriculture, des finances et de l'industrie. L’Algérie a signé, en 2008, un accord relatif à la suppression de la double imposition et l'évasion fiscale en matière d'impôts sur le revenu signé a Doha.
aai
SIWEL 071314 JAN 13