Karim Akouche devant la Maison Blanche à Washington brandissant le drapeau kabyle et le V de la victoire
Qu’on foute la paix aux Kabyles et qu'on les laisse débattre et choisir leur destin. Ils sont adultes, démocrates et pacifiques. Ils n'ont besoin ni de tuteurs ni de maîtres. Ils rejettent toutes les servitudes et méprisent les tyrans et les tyranneaux.
Les temps ont changé, les mentalités aussi. Hier, le combat était culturel, aujourd'hui il est politique. Les Kabyles n'attendent rien d'Alger. Ils ne quémandent pas la liberté. Ils entendent l'arracher. Ils ne veulent pas être à la remorque, mais à la manœuvre. Ils ne sont pas la cinquième roue de la charrette, mais le gouvernail.
Pour le bien de l'Algérie et de l'Afrique du Nord, qu'on laisse la Kabylie et ses enfants vivre leur présent et penser sereinement leur avenir.
Les peuples qui sacralisent la liberté ne peuvent pas porter éternellement des chaînes. Tôt ou tard ils les brisent.
Karim AKOUCHE
Les temps ont changé, les mentalités aussi. Hier, le combat était culturel, aujourd'hui il est politique. Les Kabyles n'attendent rien d'Alger. Ils ne quémandent pas la liberté. Ils entendent l'arracher. Ils ne veulent pas être à la remorque, mais à la manœuvre. Ils ne sont pas la cinquième roue de la charrette, mais le gouvernail.
Pour le bien de l'Algérie et de l'Afrique du Nord, qu'on laisse la Kabylie et ses enfants vivre leur présent et penser sereinement leur avenir.
Les peuples qui sacralisent la liberté ne peuvent pas porter éternellement des chaînes. Tôt ou tard ils les brisent.
Karim AKOUCHE
Karim Akouche, 2è à droite avec le Président du GPK, Ferhat Mehenni et son ministre de la Médiation, M. Lhacène Ziani, ainsi que des responsables et militants du MAK, Mourad Itim, Rachid Bandou et Arezki At Qasi, reçus au parlement du Québec
SIWEL 262054 FEV 16