La sculpture fait référence à la représentation rupestre de l'Amazigh, l'homme libre Berbère. Cependant, historiquement, les peuples Amazighs depuis l’Antique Numidie, «Province romaine d’Afrique», au «Maghreb Arabe» soumis et islamisé par les arabes, en passant par les vandales, les byzantins, les ottomans, les espagnols, les français etc., les peuples Amazighs n’ont en réalité jamais été libre.
Pourtant, s’ils n’ont jamais pu (ou su) vivre « en Hommes libres », en «Amazigh», ils n’ont en revanche jamais cessé de se battre pour arracher cette liberté tant revendiquée. Du Royaume de Massinissa à la guerre de Jugurtha, de la République du Rif à l’Etat de l’Azawad, des citadelles du Mzab aux république villageoises de Kabylie, les peuples amazighs sont depuis des millénaires en quête de cette «Liberté» que tous revendiquent mais qu’aucun n’a encore pu durablement arracher.
En terres Amazighes, les Etats Arabes dominent encore et asservissent les peuples amazighs, ils leur font célébrer, pour certains avec un zèle qui n’a d’égal que le mépris qu’ils ont pour eux-mêmes, les "capitales de la culture Arabe" ou encore les "Festival des danses Arabo-africaines"...à Tizi-Ouzou
Mais enfin, tel est le sort des peuples colonisés, d'abord dans leur têtes. Aussi, revenons à cette sculpture de « l'Homme libre » Amazigh, son histoire remonte à 2007, avec la démolition du pont Eiffel centenaire enjambant la Dronne dont le chantier est confié à la Société nouvelle de travaux publics et de génie civil (SNGC) et dont le directeur général est sollicité par une connaissance de Rachid Khimoune, sculpteur français d’origine Amazigh (berbère). L’idée d'une «statue» érigée fait son chemin.
La mairie emboîte le pas et l'association Culture 16 Avenir est fondée pour l'occasion. Présidée par le maire, l’association réunit des fonds à hauteur de 20 000 euros, répartis entre la fondation du Crédit agricole, pour moitié, les collectivités (locales) et des dons de particuliers. Le bétonneur Préfa 2000 a conçu le béton qui sert de socle à « l’Homme libre ».
Pour lire l'article sur la sculpture « l’Homme libre », voir le journal en ligne SUD OUEST
zp,
SIWEL 111744 JUIN 15
Pourtant, s’ils n’ont jamais pu (ou su) vivre « en Hommes libres », en «Amazigh», ils n’ont en revanche jamais cessé de se battre pour arracher cette liberté tant revendiquée. Du Royaume de Massinissa à la guerre de Jugurtha, de la République du Rif à l’Etat de l’Azawad, des citadelles du Mzab aux république villageoises de Kabylie, les peuples amazighs sont depuis des millénaires en quête de cette «Liberté» que tous revendiquent mais qu’aucun n’a encore pu durablement arracher.
En terres Amazighes, les Etats Arabes dominent encore et asservissent les peuples amazighs, ils leur font célébrer, pour certains avec un zèle qui n’a d’égal que le mépris qu’ils ont pour eux-mêmes, les "capitales de la culture Arabe" ou encore les "Festival des danses Arabo-africaines"...à Tizi-Ouzou
Mais enfin, tel est le sort des peuples colonisés, d'abord dans leur têtes. Aussi, revenons à cette sculpture de « l'Homme libre » Amazigh, son histoire remonte à 2007, avec la démolition du pont Eiffel centenaire enjambant la Dronne dont le chantier est confié à la Société nouvelle de travaux publics et de génie civil (SNGC) et dont le directeur général est sollicité par une connaissance de Rachid Khimoune, sculpteur français d’origine Amazigh (berbère). L’idée d'une «statue» érigée fait son chemin.
La mairie emboîte le pas et l'association Culture 16 Avenir est fondée pour l'occasion. Présidée par le maire, l’association réunit des fonds à hauteur de 20 000 euros, répartis entre la fondation du Crédit agricole, pour moitié, les collectivités (locales) et des dons de particuliers. Le bétonneur Préfa 2000 a conçu le béton qui sert de socle à « l’Homme libre ».
Pour lire l'article sur la sculpture « l’Homme libre », voir le journal en ligne SUD OUEST
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