Les autorités tunisiennes ont assuré, ce matin, que la situation sécuritaire dans le pays « est normale » et que « les forces de l'ordre sont prêtes à faire face à n'importe quelle menace ».
Faisant face à une montée inquiétante de la violence islamiste, « la situation sécuritaire est normale dans tout le pays, il n'y a aucune raison pour que les citoyens aient peur », a déclaré le porte-parole du ministère, Khaled Tarrouche, juste avant le début de la grande prière du vendredi.
« Nous appelons tous les citoyens à poursuivre leur activité normalement, il n'y a aucune raison d'avoir peur », a-t-il insisté sur la radio Mosaïque FM.
Il a souligné que les forces de l'ordre étaient « prêtes à faire face à n'importe quelle menace ».
Des appels à manifester après la grande prière du vendredi par des groupes islamistes ont été annulés jeudi soir après l'interdiction de toute manifestation par le ministère de l'Intérieur.
Des renforts policiers ont été déployés sur l'avenue Bourguiba, la grande artère du centre ville de Tunis, a-t-on indiqué.
Depuis la révolte du Jasmin, la Tunisie s’est enlisée dans un chaos provoqué par la montée des intégristes au pouvoir et les groupes salafistes violents.
aai
SIWEL 15 1610 JUIN12
Faisant face à une montée inquiétante de la violence islamiste, « la situation sécuritaire est normale dans tout le pays, il n'y a aucune raison pour que les citoyens aient peur », a déclaré le porte-parole du ministère, Khaled Tarrouche, juste avant le début de la grande prière du vendredi.
« Nous appelons tous les citoyens à poursuivre leur activité normalement, il n'y a aucune raison d'avoir peur », a-t-il insisté sur la radio Mosaïque FM.
Il a souligné que les forces de l'ordre étaient « prêtes à faire face à n'importe quelle menace ».
Des appels à manifester après la grande prière du vendredi par des groupes islamistes ont été annulés jeudi soir après l'interdiction de toute manifestation par le ministère de l'Intérieur.
Des renforts policiers ont été déployés sur l'avenue Bourguiba, la grande artère du centre ville de Tunis, a-t-on indiqué.
Depuis la révolte du Jasmin, la Tunisie s’est enlisée dans un chaos provoqué par la montée des intégristes au pouvoir et les groupes salafistes violents.
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